La foi vécue au quotidien par des personnes «retraitées»

Le thème central de ce numéro de septembre (pp. 16-17) aborde le fait que nos assemblées des messes dominicales (par exemple) soient en grande majorité composées par des « retraités », par des personnes du 3e âge. Nous avons donc voulu aller à la rencontre de l’une ou l’autre de ces personnes dites retraitées, en leur posant la question : « Pourquoi, selon vous, est-ce important de croire ? De prier ? D’aller à la messe le dimanche ? » etc.
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Sainte diplomatie

Les accords du Latran de 1929 ont entériné la souveraineté du Vatican, conférant à l’Eglise catholique une influence incontournable sur la scène internationale. Entretien avec Monseigneur Ettore Balestrero, Observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations Unies.

Par Myriam Bettens | Photo: Jean-Claude Gadmer

Quelle est la mission de l’Observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations Unies ?
L’Eglise catholique est la seule institution religieuse au monde à avoir accès aux relations diplomatiques, comme cela est reconnu par le droit international. Les raisons de cette reconnaissance se trouvent dans l’universalité et la transnationalité de l’Eglise catholique et dans le fait que le Pape, contrairement à tout autre chef religieux, a une juridiction effective sur toute l’Eglise catholique. Le Saint-Siège est partie prenante de divers instruments internationaux [ndlr, conventions], il est membre ou observateur permanent dans les institutions spécialisées des Nations Unies ainsi que des organisations intergouvernementales internationales et participe donc activement à l’élaboration et aux travaux de l’Organisation des Nations Unies et des autres organisations.

Quel est l’avantage du statut d’observateur par rapport à celui de membre votant ?
L’ONU est une organisation avec une dimension politique dont les membres doivent prendre des positions politiques qui reflètent certains intérêts, parfois légitimes, mais toujours partisans. Ce positionnement est contraire à la dimension universelle et à la nature essentiellement spirituelle et morale du Saint-Siège. Il ne poursuit pas d’objectifs politiques ou économiques, mais uniquement religieux ou moraux, qui transcendent les limites géographiques des pays et des continents. De plus, en devenant membre, il ferait l’objet de nombreuses et pressantes demandes d’adhésion à des traités internationaux qui vont à l’encontre des positions de l’Eglise catholique et de la loi naturelle comme l’avortement ou l’euthanasie.

Quelle valeur ajoutée l’implication de la religion dans les affaires d’Etat offre-t-elle aux gouvernements ?
La religion a un effet sur les affaires des Etats, soit parce qu’elle est porteuse de valeurs auxquelles de nombreux citoyens s’identifient, soit parce qu’elle est un facteur de paix. En ce qui concerne l’Eglise catholique, le consensus est qu’il s’agit d’un acteur crédible, significatif et faisant autorité. Le Saint-Siège est, en ce sens, une autorité reconnue explicitement ou implicitement. De plus, bien souvent, les hommes et les femmes d’Eglise connaissent la réalité du terrain dans certains pays mieux que les institutions elles-mêmes, c’est donc un interlocuteur utile et fiable.

Comment contribuer à une interaction adaptée et efficace des religions, avec les objectifs et les activités des Nations Unies ?
La collaboration exige un respect partagé de la nature de l’homme, car c’est le seul dénominateur commun qui permette une rencontre efficace et profonde. Il faut en tout cas éviter de faire de l’ONU et de ses programmes une sorte de religion ou d’autorité morale incontestable. Quant à l’ONU, celle-ci ne devrait pas imposer aux religions de collaboration contraire à leurs propres principes et à ceux de millions de personnes qui y adhèrent. Par conséquent, la liberté religieuse devrait être considérée comme un droit, au même titre que les autres.

A l’échelle individuelle, nos sociétés sont aujourd’hui très polarisées. Quel rôle peut jouer la religion dans la paix, voire la paix sociale ?
La religion ne devrait pas faire de politique ni administrer la société, mais guider les gens vers Dieu. Elle change les cœurs et ce sont les cœurs des gens qui changent la situation. C’est cela qui les pousse à adopter de nouveaux comportements et à emprunter la voie de l’amour et du respect des autres hommes. Si la religion ne peut changer la vie d’une personne, alors elle ne sera jamais facteur de paix.

Bio express

Né à Gênes (Italie) en 1966, Mgr Ettore Balestrero a été ordonné prêtre en 1993. 
Il est entré dans le service diplomatique du Saint-Siège en 1996, puis a été nommé Nonce apostolique en Colombie en 2013, et ordonné évêque la même année au rang d’archevêque. En 2018, le pape François l’a nommé Nonce en République démocratique du Congo. 
Il a pris le poste d’Observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations Unies en juin 2023.

Célébrations: quelques changements lors des fêtes

Comme déjà annoncé dans nos précédentes éditions, en raison de la diminution de nos prêtres dans notre paroisse, et ceci même si un nouveau vicaire dominical prendra le relais de l’abbé André cet automne, des ajustements d’horaires de messes seront inévitables.
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Décors peints, chœur de l’église Saint-Jean-Baptiste, Corsier (Genève)

Jean-Louis Gampert propose une interprétation contemporaine d’un thème traditionnel.

Par Amandine Beffa | Photo : Jean-Claude Gadmer

Quel est le point commun entre les églises Saint-Paul à Cologny, Saint-Charles-Borromée à Avusy et Saint-Jean-Baptiste à Corsier ?
Ces trois édifices du canton de Genève accueillent un monumental décor peint dans leur abside.

Si la Déesis (= intercession, en grec) est une thématique artistique répandue dans le monde byzantin, c’est moins le cas du côté de l’Occident catholique. Dans la composition traditionnelle, saint Jean-Baptiste et la Vierge Marie entourent le Christ ressuscité qui tient un livre entre ses mains. Avec les saints et les apôtres, ils intercèdent pour le salut de l’humanité. 

Jean-Louis Gampert est, avec Cingria, un des membres fondateurs du Groupe Saint-Luc. Il a notamment étudié auprès de Maurice Denis. Comme ses illustres compagnons, il propose une interprétation contemporaine d’un thème traditionnel. 

Dans la partie haute de l’abside, le Christ trône dans les nuées. A notre gauche, mains jointes, Marie intercède. Légèrement plus bas, probablement pour indiquer une différence de dignité par rapport à la Mère de Dieu, Jean-Baptiste, à genoux, regarde dans notre direction.

Dans la partie basse, à notre gauche, nous reconnaissons : saint André, avec la croix caractéristique de son martyre ; saint Pierre, avec les clefs et la tiare que lui tend un angelot. A leurs pieds, saint Jean, jeune et imberbe avec un aigle. La jeune et belle femme aux cheveux lâchés est Marie-Madeleine. Une femme tient un grand livre, c’est Anne qui instruit Marie. Joseph tient le rameau fleuri qui, selon le protoévangile de Jacques, a permis de l’identifier comme époux de Marie.

A notre droite, depuis le centre : saint François de Sales, évêque de Genève et saint Maurice, vêtu comme un soldat romain. Un ange lui apporte la palme des martyrs et la couronne de laurier, rappelant ce qui s’est passé lorsque le bourreau a levé son épée. Le curé d’Ars est reconnaissable avec sa coupe de cheveux si caractéristique. A l’extrême droite, on trouve saint François d’Assise en bure. Devant, sainte Thérèse d’Avila avec le crucifix, combattant le démon qui souhaite l’attirer en Enfer et sainte Thérèse de Lisieux tenant les images de la Sainte Face.

Un ADN d’art et de foi

Texte et photo par Nicolas Maury

« Ma foi n’est pas extérieure à qui je suis. Elle implique toute ma vie et fait partie de mon ADN », affirme Roger Gaspoz. Un ADN dont la seconde moitié est l’art. « J’ai dessiné et sculpté depuis ma plus tendre enfance : des animaux dans des écorces de mélèze tout d’abord, puis des personnages dans la pierre et le bronze », raconte le Valaisan qui en tire un bel enseignement : « Quand je peux travailler pour l’Eglise, je rends à Dieu les talents qu’Il me donne, je bosse pour Lui. » 

Ses créations se retrouvent partout en Romandie et au-delà : la statue de saint Amé à Notre-Dame du Scex (Saint-Maurice) la crypte de Muraz, les quatre évangélistes de Venthône, un reliquaire au Carmel à Develier, un portrait de Marguerite Bays à Siviriez, un autre peint pour le pape François, etc. « Un jour un peintre a dit : on entre en peinture comme on entre en religion. Dans mon travail j’allie les deux. »

Roger Gaspoz dévoile un de ses projets en cours : une statue de Mgr Schwery qui prendra place dans l’église de Saint-Léonard. « Je privilégie un format grandeur nature pour que chacun puisse s’identifier à quelqu’un de vrai. » Désignant la maquette, le sculpteur détaille : « La main tendue et ouverte accueille celui qui se présente à l’entrée de l’église et l’invite à lire la Bible sur laquelle est posée l’autre main. L’homme d’Eglise veut en partager le message. Tout est dans la symbolique. »

L’artiste s’intéresse à la personnalité de son modèle. « Dans le cas présent, j’ai eu la chance de connaître Mgr Schwery. Cela facilite les choses. Pour saint Amé, les images que j’avais prises d’un capucin en oraison m’ont inspiré sa posture méditative. J’ai travaillé le visage du saint à partir de celui d’un éducateur des Rives du Rhône dont les traits me parlaient. »

Peintre, sculpteur, verrier, psychopédagogue… les cordes de l’arc de Roger Gaspoz sont multiples. Toutes lui permettent de viser le même but : « Refléter les mouvements d’une âme sur une toile ou dans l’inertie de la pierre m’a toujours fasciné. J’ai un grand désir de le partager. Chaque œuvre doit donner l’impression qu’une force venue du dedans pousse les lignes vers l’extérieur. Ça lui donne toute sa plénitude et sa force. »

Roger Gaspoz
• Né en 1968, il vit à La Luette (VS).
• Maturité à Sion, Beaux-Arts à Lausanne et à Sion, brevet d’enseignement secondaire à l’Université de Berne.
• Ancien enseignant au CO d’Euseigne et à l’Ecole Normale de Sion.
• Artiste à temps plein depuis 2000.

Retrouvez l’ensemble des textes et des vidéos de la rubrique sur le site : https://presse.saint-augustin.ch/ecclesioscope/

Etienne Klein

Par Pierre Guillemin | Photo : DR

Dans son émission radiophonique sur France Culture intitulée « La Conversation scientifique » (précédemment « Sciences en question »), Etienne Klein, ingénieur, physicien, docteur en philosophie des sciences, directeur du laboratoire de recherche sur les sciences de la matière du Commissariat à l’Energie Atomique, nous fait part de ses questions sur la physique et de ses relations avec nos vies matérielles et spirituelles. Ses chroniques radiophoniques récentes : « L’autre temps des femmes », « Ne pensons-nous qu’avec nos têtes ? », « Naissance, vie et mort des glaciers », « Quels sont les ressorts de nos croyances ? » sont très révélatrices de sa pensée et de ses questionnements.

Interrogé à propos du célèbre livre « Dieu, la science, les preuves » de M.-Y. Bolloré et O. Bannassies publié en 2021, il répond : « Prétendre prouver scientifiquement l’existence de Dieu, c’est faire preuve d’une certaine naïveté. D’abord à l’égard de l’idée de Dieu, car si celui-ci devenait l’aboutissement d’une démarche scientifique, c’est-à-dire s’il était le résultat positif d’une enquête rationnelle menée par la communauté des chercheurs, son prestige se verrait sérieusement rabougri : il n’aurait plus que le statut d’une connaissance. »

Ne pas confondre les registres

Ces propos sont éclairés par Alain Viret (théologien formateur du Centre Catholique Romand de Formation en Eglise, aujourd’hui à la retraite) qui nous rappelle : « Les découvertes de l’existence du Big Bang initial restent des modèles se heurtant de toute façon à une limite qui est actuellement celle du mur de Planck (nous en parlerons dans une prochaine chronique) empêchant de remonter jusqu’à l’instant initial. Confondre les deux registres de pensée de la science et de la foi est aussi absurde que de les opposer. Dieu ne peut se réduire à une équation ou à une cause première. Le respecter est un premier pas vers une connaissance juste et vraie de l’Etre. »

Rappelons-nous de ce qu’écrivait Galilée : « L’intention du Saint-Esprit est de nous enseigner comment on va au ciel et non comment va le ciel. »

Les messes de plein air

En été, les prêtres ont la joie de travailler davantage que durant l’année, avec d’autres agents pastoraux, ils ont la joie de descendre près du lac ou monter sur les hauteurs pour célébrer dans les plus belles des cathédrales : les jumelles, le col du vent (1850 m.), Recon, Miex, Taney, avec ou sans baptême, Chalavornaire, la Jorette, ou la Barge près du canal.
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La médaille de saint Christophe

L’Essentiel décrypte ce qui se cache derrière les principales médailles que nous portons. Cap ce mois-ci sur la médaille de saint Christophe. Patron des voyageurs, son nom signifie le « porte Christ ». Sa médaille nous invite à porter notre croix avec humilité et courage.

Par Pascal Ortelli | Photos: DR, Musée byzantin et chrétien d’Athènes

Semi-retraite pour la doyenne de l’équipe pastorale

C’est ce que l’on peut appeler fort justement un événement dans la vie d’une paroisse : Mireille Duc dit « au revoir » à l’équipe pastorale après… quasiment un demi-siècle d’un engagement ininterrompu. Une page se tourne pour le secteur Est, tant elle était un pilier de la vie pastorale pour toute cette partie de la paroisse.
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C’est quoi, mon Eglise?

Faire Eglise hors église. Confirmands dans la cathédrale de Mère Nature.

Par Laurent Ciesielski 
Photo : Astrid Belperroud

Le dernier week-end de juin : deux messes, la première, célébrée pour notre unité pastorale, où sur la photo dominent les têtes blanches. La deuxième, à Saint-Paul, au cours de laquelle l’évêque administre le sacrement de confirmation, sur la photo une église bondée et de nombreux visages jeunes, de jeunes gens qui déclarent leur : me voici.

Deux situations différentes, la même Eglise, la même Cène du Seigneur. Le même moment où se réalise notre salut. Au cours du repas, Jésus prit le pain et le donna à ses disciples. N’oublions pas que le moment le plus important pour un chrétien se passe lors d’un repas, dans un acte ordinaire comme manger. Nous rajeunirons l’Eglise si nous écoutons Jésus et à sa demande nous passons sur l’autre rive, si nous sommes prêts aux changements, à la nouveauté, à l’inconnu, avec une pleine confiance en Jésus, qui nous demande de changer d’orientation, de direction. Plus de paroisse, ma préférée, petite, avec mon curé, mais une unité pastorale plus grande, ouverte. Il faut monter dans le bateau et partir, découvrir du nouveau, en ayant confiance, à la demande de Jésus.

Parfois, à la messe, nous sommes une petite poignée de fidèles. Mais juste à côté, près de la grotte de Notre-Dame, quelqu’un veille en permanence, quelqu’un passe et s’arrête pour prier. Et ils sont de tout âge, vieux et jeunes, enfants avec leurs parents. Peut-être que l’Eglise n’est pas uniquement présente dans la sacristie mais aussi dans d’autres endroits, qu’il faudrait reconnaître comme de nouveaux lieux de rencontre : sur un bateau amarré aux Eaux-Vives, lors d’une expédition en montagne, en jouant à des jeux lors des soirées d’automne, en écoutant vraiment les jeunes qui posent des questions, même si je n’ai pas toutes les réponses.

Il ne faut pas s’inquiéter à l’avance, Jésus est avec nous sur le bateau, qui semble couler à cause de la tempête, mais c’est Lui qui peut ordonner au vent et à la mer : « Silence, tais-toi ! Pourquoi avez-vous peur, n’avez-vous pas de foi ? » Il est difficile de rajeunir l’Eglise sans foi.

Et encore une chose : nous sommes tous baptisés, donc chacune et chacun de nous est appelé à la mission sacerdotale, prophétique et royale. Peut-être vaut-il la peine de se demander si je réalise bien cette mission, en m’engageant dans la vie sociale, sans attendre et se plaindre qu’il n’y a pas de prêtre, et que dans l’église il n’y a que des têtes blanches…

En librairie – septembre 2024

Par Calixte Dubosson et la librairie Saint-Augustin

Des livres

La grâce de la vieillesse
Pape François

Dans ce livre, qui rassemble l’intégrale de ses catéchèses sur la vieillesse, le pape François propose à tous, et particulièrement aux « anciens », une méditation originale et remplie d’espérance sur le grand âge de la vie, la grâce du temps qui passe, l’importance de la transmission et du lien entre les générations. Un magnifique enseignement sur le sens et la valeur de la vieillesse, qui montre combien nos aînés comptent aux yeux de Dieu et jouent un rôle irremplaçable dans notre société, particulièrement auprès des plus jeunes.

Editions Mame

Acheter pour 24.00 CHF

Les grands-parents, trésors irremplaçables
Guy Gilbert

Prêtre-éducateur depuis plus de cinquante ans, celui qui proclame que « la rue est son Eglise » aide des jeunes en perdition. Dans ce livre, il met en lumière la joie et l’utilité qu’il y a à être grands-parents dans la société actuelle. Il explique que ces personnes sont en pleine forme, pouvant ainsi mettre leur énergie au service de leurs petits-enfants et qu’elles ont tout le loisir de raconter l’histoire des familles ou des villages tout en prêtant une oreille attentive à leurs petits-enfants.

Editions Philippe Rey

Acheter pour 12.10 CHF

Dietrich Bonhœffer
Molly Frye Wilmington – Marcin Piwowarski

L’histoire d’un héros ne comprend pas toujours une guerre mondiale, un ennemi cruel, des missions secrètes audacieuses et un code caché que vous devez découvrir. C’est pourtant le cas de l’histoire de Dietrich Bonhœffer. Dans ce livre unique, Bobby le petit chien de berger raconte l’histoire puissante d’un homme qui a courageusement suivi Jésus pendant une période sombre de l’histoire du monde. L’histoire de Dietrich Bonhœffer aide les enfants à comprendre la foi, la persévérance et la souffrance. Les lecteurs seront encouragés, comme lui, à profiter de la vie dans les bons moments et « tenir ferme » dans les moments les plus difficiles.

Editions Bibli’o

Acheter pour 13.80 CHF

La retraite, un temps à savourer
Mouvement chrétien des retraités

Un guide pratique avec des réflexions de fond pour donner du sens à sa retraite et en déployer les richesses. Un livre écrit par le Mouvement chrétien des retraités, à lire juste avant ou après le départ à la retraite pour réfléchir aux enjeux humains, relationnels et spirituels de cette étape de vie, y trouver de nouvelles formes de fécondité. Anticiper sa retraite, réfléchir à son projet. Savoir faire le deuil d’une période professionnelle qui se termine. Apprécier d’une nouvelle manière ce qui continue (vie conjugale, familiale, amicale, sociale).

Editions Mame

Acheter pour 27.60 CHF

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Notre jeunesse au service!

Par Thierry Schelling
Photos : Astrid Belperroud

Nos jeunes qui cheminent vers la confirmation sont au service de nos communautés paroissiales, des EMS, de leurs contemporains, de leur âme et corps (retraite au Simplon pour nos confirmands prévue les 5-7 septembre sous la houlette d’Astrid, de Laurent et du Père Karol). La diaconie est LA forme de catéchèse qui leur correspond bien, tout en ayant un apport sur le Credo et sur saint Paul. Et l’Evangile dans la poche à tout bout d’échanges !

Leur confirmation est prévue en deux temps, le samedi 9 no-vembre (18h) et le dimanche 10 novembre (10h30) avec les abbés Pascal Desthieux et… moi-même, comme délégués par notre évêque.

Un temps de jubilés pour un renouveau

Les occasions de jubilés se succèdent dans notre région : le centenaire de saint Bernard, patron des habitants des Alpes, se clôturera le 15 septembre par une messe solennelle à Martigny-Ville, les 75 ans du martyre du bienheureux Maurice Tornay seront célébrés le 20 octobre à Orsières.
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