Sainte Elisabeth de Hongrie, page "Jeux, jeunes et humour" de novembre 2024 par Marie-Claude Follonier
Par Marie-Claude Follonier
Question jeune
Pourquoi au moment de rompre l’hostie, le prêtre en met un bout dans la coupe ?* Après le geste de paix et avant le chant de l’Agneau de Dieu, le prêtre rompt le pain et laisse tomber un fragment de l’hostie dans le calice. On appelle ce geste l’immixtion, du latin mélanger. A l’époque, cela pouvait servir à ramollir les pains consacrés. Symboliquement, ce geste marque l’unité avec l’évêque qui envoyait aux prêtres dans les villages une parcelle de l’hostie qu’il avait consacrée. Sur l’autel, le Corps et le Sang du Christ, alors séparés, se trouvent à nouveau réunis.
Par Pascal Ortelli
* Nous vous proposons cette année de décrypter la messe, en lien avec le livre de Pascal Desthieux : Au cœur de la messe. Tout savoir sur la célébration, illustrations Hélène VDB, Editions Saint-Augustin.
Humour
Un paysan roule avec son tracteur quand surgit une Ferrrari qui le klaxonne. Le conducteur l’apostrophe : « Allez ! Pousse-toi avec ta carriole, moi j’ai 300 chevaux sous le capot pépé ! » Le fermier se range sur la droite et laisse dépasser la Ferrari. Quelques kilomètres plus loin, au détour d’un virage, le paysan aperçoit la grosse voiture (et donc ses 300 chevaux) dans la rivière, le conducteur trempé et bien sûr furieux. Alors le pépé sur son tracteur le klaxonne à son tour et lui dit : « Alors, on donne à boire à ses bêtes ! »
Nous étions nombreux le 29 septembre dans cette église de Monthey pour accompagner les trente-quatre enfants et neuf adolescents. La veille, ils ont vécu un temps de retraite avec leur parrain et marraine. Ce dernier week-end était riche et intense tant pour les jeunes que leur parrain et marraine, comme en témoigne Mélinda, catéchiste et marraine.
Nous étions nombreux le 29 septembre dans cette église de Monthey pour accompagner les trente-quatre enfants et neuf adolescents. La veille, ils ont vécu un temps de retraite avec leur parrain et marraine. Ce dernier week-end était riche et intense tant pour les jeunes que leur parrain et marraine, comme en témoigne Mélinda, catéchiste et marraine.
Rien de mieux qu’une passion partagée avec d’autres. Lorsque celle-ci porte sur Calvin, cela donne Calvin Tours. Rencontre avec John Glass, qui a fait du Réformateur son « métier ».
Rien de mieux qu’une passion partagée avec d’autres. Lorsque celle-ci porte sur Calvin, cela donne Calvin Tours. Rencontre avec John Glass, qui a fait du Réformateur son « métier ».
Par Myriam Bettens Photo : Jean-Claude Gadmer
Comment vous est venue cette passion pour Calvin ? L’intérêt est venu de ma passion pour le Seigneur, de la Bible, mais aussi des autres. J’ai grandi à Genève, mais il aura fallu un voyage à New Delhi pour entendre parler de l’Evangile ! C’est après mes études théologiques en Californie, alors de retour à Genève en tant que pasteur, que mes amis américains m’ont appelé pour me demander des « tours de la Réforme ». J’ai étudié le sujet à droite et à gauche, car je ne connaissais absolument rien sur Calvin, puis j’en ai fait mon mémoire de doctorat.
Pouvez-vous m’expliquer en quelques mots ce qu’est Calvin Tour ? Nous proposons deux tours de la Réforme. Le premier dure deux heures et le second trois. Je commence toujours par expliquer, images à l’appui, ce qu’est la Réforme. Après avoir eu l’histoire sous forme visuelle, nous partons dans les rues de la Vieille-Ville, puis au Musée de la Réforme (MIR) pour les tours de trois heures. Beaucoup de gens ont une très mauvaise opinion de Calvin. Il est considéré comme un tue-joie. Je souhaite montrer la manière dont il a changé le monde, car il l’a réellement bouleversé et nous bénéficions encore aujourd’hui de son apport.
Genève sans Calvin serait-elle devenue ce qu’elle est aujourd’hui ? Absolument pas ! L’éthique protestante du travail et la démocratie viennent en grande partie de lui et des Réformateurs de l’époque. La Suisse, la Genève d’aujourd’hui, ainsi que les pays ayant reçu la Réforme et les Huguenots ont été transformés, déjà économiquement parlant, par le protestantisme et ses valeurs découlant directement de la Bible. Le problème aujourd’hui, c’est que l’on a gardé l’éthique protestante du travail, l’argent, mais on a abandonné Dieu. Alors que pour Calvin, travail allait toujours de pair avec générosité…
A qui vos tours guidés s’adressent-ils ? Nonante-cinq pour cent de mes tours sont plébiscités par les évangéliques américains. Ils raffolent de tout ce qui a trait à Calvin et la Réforme ! Pour eux, il y a trois lieux à visiter : Israël pour Jésus, Wittemberg pour Luther et Genève pour Calvin. Nous avons neuf guides parlant sept langues différentes, mais la majorité des tours sont donnés en anglais ou en français. A l’heure actuelle, nous n’offrons que des tours privés, mais souhaiterions proposer des tours ouverts auxquels toute personne intéressée pourrait se joindre. De manière générale, les gens ne connaissent vraiment pas leur histoire. A chaque fois que je fais des tours guidés pour des locaux, la même question revient : pourquoi est-ce un Américain qui propose des tours sur la Réforme à Genève ?
Vous avez aussi officié du côté de la patinoire des Vernets comme « guide », pour ainsi dire, mais pas touristique… En effet, c’est une drôle d’histoire. (rires) Un jour, j’ai reçu un coup de téléphone d’un homme me demandant de devenir l’aumônier du Genève Servette Hockey Club (GSHC). J’étais pasteur, mais le hockey n’était pas mon truc et je n’y connaissais rien non plus… Finalement, je suis resté l’aumônier du club durant 16 ans. (sourires) Mais la seule raison pour laquelle l’équipe m’a accepté si longtemps… c’est les brownies de ma femme !
La Réforme, en avant les histoires…
« J’en ai aussi un, mais j’attends Calvin », lance John Glass à propos du Playmobil à l’effigie de Luther. Produit en 2015 pour célébrer les 500 ans de la réforme protestante, la figurine s’est écoulée à plus de 1,17 million d’exemplaires faisant du réformateur allemand le Playmobil le plus vendu au monde.
Bio express
Né à Paris en 1956 de parents américains, John Glass arrive à Genève en 1957. Il y passe les 15 premières années de sa vie. A l’âge de 19 ans, lors d’un voyage de 6 mois en solitaire, il découvre l’Evangile en Inde. Il termine des études universitaires aux Etats-Unis et devient steward à la Pan Am, puis obtient une maitrise en théologie en 1985 au Talbot Theological Seminary (USA). En 2009, il achève un doctorat en théologie du Master’s Seminary (USA) dont la thèse est le livre intitulé La Genève de Jean Calvin : Sur les pas du grand Réformateur. Aujourd’hui pasteur à plein temps à la Geneva Bible Church, les tours guidés sont pour lui une manière de partager sa passion pour la Bible et le Réformateur.
En ce samedi matin 28 septembre, à la salle polyvalente des Perraires, 21 confirmands de Collombey-Muraz ont reçu l’onction du Saint-Chrême de la part du vicaire général, l’abbé Pierre-Yves Maillard.
En ce samedi matin 28 septembre, à la salle polyvalente des Perraires, 21 confirmands de Collombey-Muraz ont reçu l’onction du Saint-Chrême de la part du vicaire général, l’abbé Pierre-Yves Maillard.
La première impression qui se dégage de ce vitrail de Paul Monnier, c’est une forme de calme, de paix. L’épisode des cinq pains et deux poissons n’est pas représenté de manière triomphale, les couleurs choisies ne sont pas celles d’un miracle éclatant de gloire.
Par Amandine Beffa | Photo : Jean-Claude Gadmer
La première impression qui se dégage de ce vitrail de Paul Monnier, c’est une forme de calme, de paix. L’épisode des cinq pains et deux poissons n’est pas représenté de manière triomphale, les couleurs choisies ne sont pas celles d’un miracle éclatant de gloire.
Contrairement à ce que rapportent les quatre évangélistes 1, ce n’est pas la foule qui entoure Jésus. Il n’y a que six personnages, probablement des disciples. On reconnaît Jean, jeune et imberbe. Il est positionné la tête penchée, comme sur les représentations de la Cène. Ce n’est pas le seul indice d’un rapprochement avec le dernier repas. Sur la table, une coupe accompagne les pains et les poissons. Ces pains ressemblent d’ailleurs plus à des hosties : ils sont blancs et comportent une croix. Le Seigneur est lumineux et vêtu de blanc, son auréole est un nimbe crucifère, symbole associé à la Résurrection.
Revenons aux disciples : leur tête à tous est orientée vers la table et leurs yeux sont fermés, à l’exception de celui en bas à gauche. Ce personnage est tourné vers Jésus, les yeux grands ouverts. Il a une expression de perplexité, d’interrogation, on pourrait presque y voir de la peur. Qui est-il ? Qu’est-ce que Monnier veut nous dire à travers cet homme ? Il est difficile de répondre à ces questions avec assurance. Il est toutefois certain qu’il nous invite à nous interroger à notre tour : qu’est-il en train de se passer ? qui est ce Jésus que nous croyons connaître ?
Paul Monnier nous entraîne à la multiplication des pains avec Jésus qui nourrit la foule, au soir du Jeudi saint, avec Jésus qui partage un dernier repas avec ses disciples, après la Résurrection, avec Jésus qui donne des signes et invite à croire. En utilisant des codes modernes – on pourrait voir le calice sur un des autels de nos églises – l’artiste nous entraîne aussi à méditer sur l’Eucharistie.
Non loin de la chapelle de l’Evi, au cœur de la Gruyère, Abraham Llucia Lopez décrit l’une de ses sculptures : « L’Enfant Jésus a une tête de coquin. Derrière son dos, il cache un livre.
Par Nicolas Maury Photo : Claude Marguet
Non loin de la chapelle de l’Evi, au cœur de la Gruyère, Abraham Llucia Lopez décrit l’une de ses sculptures : « L’Enfant Jésus a une tête de coquin. Derrière son dos, il cache un livre. Son regard semble dire à saint Antoine, qui le porte : « J’ai quelque chose pour toi et je vais te le donner. » Le saint a l’air songeur : « Petit malicieux, n’essaye pas de me faire tomber dans l’eau ! » Tout le monde connait l’histoire de saint Antoine. J’ai voulu en donner une vision un peu différente. »
La différence, l’artiste andalou d’origine catalane la revendique. Surtout lorsqu’elle est créative. Artiste-peintre avant lui, son père lui a confié pinceaux et couleurs dès sa plus tendre enfance. Un don qui a changé sa vie. Adolescent déjà, il remporte plusieurs prix de sculpture et de peinture avant de commencer, âgé de 19 ans, à réaliser des fresques dans son Espagne natale.
Aujourd’hui, il a établi son atelier à Neirivue. « Il vient de se faire naturaliser. Une belle fête », commente son voisin Claude Marguet, par ailleurs président de la paroisse de Saint-Martin Haut-Intyamon. C’est à ce titre qu’il lui a demandé, il y a quelques années, de réaliser une tâche spécifique. « Les stations du chemin de Croix menant à la chapelle de l’Evi étaient défraichies. Connaissant ses talents – il a peint le tableau géant sur l’Abbé Bovet qu’on peut voir au musée de Gruyère – nous avons engagé Abraham. Il a refait les 14 stations ! » Président du conseil de Fondation de la chapelle de l’Evi, Claude Castella ajoute : « Vu son importante culture théologique, c’était la personne idéale. »
Le principal intéressé ne dément pas : « Au départ, je pensais devenir jésuite. J’ai commencé à cheminer sur cette voie avant de me rendre compte que ce n’était pas la mienne. Je me suis dit qu’il valait mieux être un bon maçon qu’un mauvais architecte. Plus sérieusement, cette partie de ma vie m’a donné de bonnes bases théologiques. » De quoi lui permettre de donner, au-delà de son métier d’artiste, des conférences liées à la religion. « J’aime souligner ce qui lie les différents monothéismes. Les similarités sont plus grandes que les différences. Comme pour l’art, tout dépend de l’endroit où on pose son regard. »
Abraham Llucia Lopez • Né à Jaén en Andalousie le 16 janvier 1950. • Ariste, peintre, sculpteur, professeur d’Art, il a notamment donné des cours à l’Ecole publique l’Escalâ (Costa Brava) et a fondé l’Ecole d’Arts du Palace Hôtel à Gstaad. Il fut aussi responsable des Arts de la Dar-Al-Fikr School en Arabie Saoudite et a donné des cours à l’école publique de Barberêche à Fribourg.
La mémoire est une fonction cognitive essentielle, permettant de stocker, récupérer et utiliser des informations au fil du temps.
Par Pierre Guillemin | Photo : DR
La mémoire est une fonction cognitive essentielle, permettant de stocker, récupérer et utiliser des informations au fil du temps. On distingue trois types de mémoire : la mémoire sensorielle, la mémoire à court terme et la mémoire à long terme :
-> La mémoire sensorielle capte brièvement les stimuli de l’environnement ;
-> la mémoire à court terme conserve une quantité limitée d’informations pendant quelques jours au maximum ;
-> la mémoire à long terme permet de stocker des connaissances pour des périodes prolongées supérieures à la semaine…
Les recherches scientifiques actuelles montrent que la mémoire humaine est façonnée par divers facteurs biologiques, environnementaux et technologiques. A un niveau neurobiologique, les réseaux de neurones dans des régions comme l’hippocampe et le cortex préfrontal jouent un rôle crucial.
La mise en mémoire d’un souvenir se traduit par une augmentation importante et durable de l’efficacité synaptique. C’est ce que l’on appelle la potentialisation à long terme ou LPT. Lorsqu’une modification d’efficacité est induite (après activation de la synapse), des mécanismes moléculaires dans les neurones conduisent progressivement à des changements morphologiques durables. Les études morphologiques ont révélé la trace de ces profonds remaniements des réseaux de neurones qui sont donc des conséquences de l’induction de la plasticité synaptique :
-> Changement de forme et de taille des synapses, augmentation des surfaces d’apposition entre les éléments pré- et postsynaptiques ; transformation de synapses silencieuses en synapses actives ;
-> Croissance de nouvelles synapses.
Cependant, la mémoire est également sensible à l’oubli et aux distorsions. Il est fondamental d’entraîner régulièrement sa mémoire.
Les progrès en neurosciences et en intelligence artificielle modifient notre compréhension de la mémoire. Mais si l’innovation dans ce domaine est remarquable, les questions éthiques et philosophiques liées à l’augmentation cognitive demeurent centrales, notamment sur la frontière entre mémoire humaine naturelle et artificielle.
La mémoire joue un rôle crucial dans la transmission orale des Evangiles avant leur mise par écrit. Ainsi, la mémoire des apôtres n’est pas seulement un processus cognitif, mais un acte de fidélité à une vérité transcendante, une façon de garder vivante la parole divine au cœur des croyants.
Dans le credo, nous affirmons notre foi en la communion des saints. Cette expression est difficile. Pourtant c’est un dogme essentiel de notre foi, célébré tout particulièrement le jour de la Toussaint, pour notre réconfort.
Dans le credo, nous affirmons notre foi en la communion des saints. Cette expression est difficile. Pourtant c’est un dogme essentiel de notre foi, célébré tout particulièrement le jour de la Toussaint, pour notre réconfort.
L’Essentiel décrypte ce qui se cache derrière les principales médailles que nous portons. Regard ce mois-ci sur la médaille de saint Michel. Sa médaille procure un sentiment de sécurité et aide à trouver le courage de faire face au danger, raison pour laquelle les pompiers, les soldats et les policiers en portent souvent une.
L’Essentiel décrypte ce qui se cache derrière les principales médailles que nous portons. Regard ce mois-ci sur la médaille de saint Michel. Sa médaille procure un sentiment de sécurité et aide à trouver le courage de faire face au danger, raison pour laquelle les pompiers, les soldats et les policiers en portent souvent une.
Par Pascal Ortelli Photo: DR
Prière à saint Michel Archange défenseur
« Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat ; soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu lui fasse sentir son empire, nous vous en supplions. Et vous, prince de la milice céleste, repoussez en enfer, par la force divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes. Amen. » Léon XIII
Bien des livres de Chappaz sont difficiles à aborder, quand ils ne sont pas, d’ailleurs, introuvables en librairie. S’il en est un qui échappe à ces deux écueils, c’est Le Garçon qui croyait au paradis. Voici – avis aux amateurs ! – quelques extraits commentés de cette autobiographie poétique.
Bien des livres de Chappaz sont difficiles à aborder, quand ils ne sont pas, d’ailleurs, introuvables en librairie. S’il en est un qui échappe à ces deux écueils, c’est Le Garçon qui croyait au paradis. Voici – avis aux amateurs ! – quelques extraits commentés de cette autobiographie poétique.
Les phénomènes paranormaux nous troublent et s’avèrent un sujet grave, à manipuler avec précaution : sensation d’être l’objet d’une attaque démoniaque, perception de bruits étranges dans la maison ou déplacements d’objets…
Par Calixte Dubosson et la librairie Saint-Augustin
Des livres
Libère-nous du mal Jean-Christophe Thibaut
Les phénomènes paranormaux nous troublent et s’avèrent un sujet grave, à manipuler avec précaution : sensation d’être l’objet d’une attaque démoniaque, perception de bruits étranges dans la maison ou déplacements d’objets… Faut-il mettre tous ces phénomènes sur le compte de troubles mentaux ou de manifestations diaboliques ? Spécialiste des courants ésotériques, le père Thibaut accompagne les personnes confrontées à ces phénomènes et propose un véritable manuel de discernement théorique et pratique pour tous, prêtre et laïc : des informations claires et complètes sur la nature des puissances maléfiques suivies de fiches pratiques et d’une large sélection de prières de délivrance.
Audacieux projet que de reprendre les récits de guérison qui parsèment les évangiles tant ils semblent connus. Pourtant, le P. Bruno Régent réussit à en proposer ici une lecture renouvelée en suggérant une interprétation du vécu intérieur des témoins. Il se met véritablement à leur place. Grâce à cette approche originale, l’auteur dévoile ces récits de guérison sous des jours nouveaux. Sa démarche favorise la prière personnelle et interroge la vie spirituelle du lecteur. Elle permet aussi de s’interroger sur le sens d’une demande de guérison et sur l’identité de Jésus. De quelle manière faut-il voir en lui un guérisseur, un sauveur ?
En septembre 2023, l’évêque de Lausanne, Genève et Fribourg Charles Morerod a été opéré en urgence en raison d’un double hématome cérébral. Après être passé près de la mort, il voit dans cette « deuxième vie » qui lui est offerte un appel à s’exprimer sur la problématique des abus sexuels commis au sein de l’Eglise, dans leur dimension systémique. Comment des comportements aussi ravageurs peuvent-ils prendre corps dans un milieu où l’on prône l’amour de son prochain ? Démarche inédite, ce livre d’entretiens raconte l’histoire d’un évêque du XXIe siècle secoué par des drames et des scandales et qui pense avoir un rôle à jouer pour en prévenir d’autres et réparer le mal.
Le jeune Clive Staples Lewis n’a pas pu faire confiance à Dieu après la mort de sa mère. Il perdit la foi et devint soldat et professeur. Mais il ne cessa jamais d’espérer trouver la joie. La vie de C.S. Lewis, ici racontée, en bande dessinée, par un hibou à lunettes, nous explique comment l’homme connu sous le nom de Jack a embrassé le christianisme, a été surpris par la joie et a ensuite utilisé ses mots et ses écrits pour partager cette joie avec le monde.
Alors que le mois de novembre s’installe avec ses teintes automnales et ses journées plus courtes, nous célébrons la Toussaint. Une occasion de rendre hommage à tous
les saints et de nous souvenir de nos êtres chers disparus.
Alors que le mois de novembre s’installe avec ses teintes automnales et ses journées plus courtes, nous célébrons la Toussaint. Une occasion de rendre hommage à tous
les saints et de nous souvenir de nos êtres chers disparus.
Le groupe communication des paroisses catholiques du Haut-Lac a été mandaté pour procéder à la refonte du site internet. Grâce à un budget voté par les quatre Cogest, (Conseils de Gestion), le chantier a commencé au printemps et vous découvrirez l’aboutissement de ce travail au premier semestre 2025.
Le groupe communication des paroisses catholiques du Haut-Lac a été mandaté pour procéder à la refonte du site internet. Grâce à un budget voté par les quatre Cogest, (Conseils de Gestion), le chantier a commencé au printemps et vous découvrirez l’aboutissement de ce travail au premier semestre 2025.
« Allons-y » lance avec détermination à son accompagnante, une alerte grand-maman de 92 ans. D’un pas décidé, elle part faire sa promenade matinale dans un parc encore tout fleuri en ce début d’automne.
« Allons-y » lance avec détermination à son accompagnante, une alerte grand-maman de 92 ans. D’un pas décidé, elle part faire sa promenade matinale dans un parc encore tout fleuri en ce début d’automne.
Anne est née à Martigny en 1979 et est titulaire d’un Master en anthropologie et sociologie. Dès sa première année de vie, elle a dû être placée dans une famille d’accueil.
Anne est née à Martigny en 1979 et est titulaire d’un Master en anthropologie et sociologie. Dès sa première année de vie, elle a dû être placée dans une famille d’accueil.
« Chers enfants ! Aujourd’hui, ma prière avec vous est pour la paix. Le bien et le mal se battent et veulent régner dans le monde et dans le cœur des hommes.
« Chers enfants ! Aujourd’hui, ma prière avec vous est pour la paix. Le bien et le mal se battent et veulent régner dans le monde et dans le cœur des hommes. Vous, soyez des personnes d’espérance, de prière et de grande confiance en Dieu le créateur à qui tout est possible… Première partie du message de notre Mère Marie le 25 août 2024 à Medjugorje
En 2004, l’une de nos paroissienne, attentive au chemin que notre Seigneur lui propose, et à l’écoute de l’invitation de son curé, se rend en pèlerinage à Medjugorje, là où notre Sainte Mère la Vierge Marie apparait régulièrement depuis maintenant plus de 40 ans. Profondément touchée par ce qu’elle y vit, elle y retourne cette fois-ci accompagnée de quelques paroissiens en 2005, puis en 2006. Sur le chemin de ce pèlerinage, l’autocar s’arrête aux abords d’un sanctuaire marial. Ce même curé y dit la messe. A cet endroit, le Saint autel tourne le dos aux fidèles. Au moment de la consécration, le prêtre voit dans le calice élevé au-dessus de lui le reflet très net de tous les paroissiens et entend alors un message : « Je voudrais que tu fasses cela dans ta paroisse ! »
Dès 2007, les soirées mariales sont mises sur pied. Elles ont lieu chaque premier jeudi du mois en l’église du Bon Pasteur à Puplinge. Après une messe à 18h30, un chapelet est récité pendant l’adoration du Saint-Sacrement et la confession offerte à celles et ceux qui le souhaitent. Le message mensuel de la Sainte Vierge y est lu et commenté par le prêtre. Des musiques provenant de Medjugorje y sont diffusées, facilitant ainsi le lien avec ce lieu de pèlerinage, avec ses pèlerins et surtout avec notre Mère Marie. Des prières sont dites pour les victimes de toutes les guerres, particulièrement en Ukraine et pour la paix dans le monde entier. Cette célébration se termine vers 19h45.
Que vous soyez paroissiens ou non, pratiquants ou non, et même d’une autre religion, pourquoi ne pas venir participer à ce moment de prière intense et magnifique, ne serait-ce qu’une fois, rien que pour voir… ?
… Petits enfants, que la paix règne en vous et autour de vous. Je vous bénis de ma bénédiction maternelle, afin que vous, petits enfants, soyez joie pour tous ceux que vous rencontrez. Merci d’avoir répondu à mon appel. » Seconde partie du message de Marie
Joy Monnet est une couturière indépendante. Elle travaille dans son atelier à Collombey, au sein du Monastère des Bernardines. Dans ce cadre magnifique, elle confectionne, entre autres, des habits liturgiques. Elle nous accueille le temps d’un après-midi.
Joy Monnet est une couturière indépendante. Elle travaille dans son atelier à Collombey, au sein du Monastère des Bernardines. Dans ce cadre magnifique, elle confectionne, entre autres, des habits liturgiques. Elle nous accueille le temps d’un après-midi.
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