Un silence ouvert au sacré

Avant Vatican II, le prêtre, seul, célèbre la messe à voix basse et les fidèles y assistent en spectateurs muets. Après le Concile, de nombreux changements favorisent la participation des fidèles. Aujourd’hui, l’Eglise présente le silence comme un des moyens pour que tous vivent activement la liturgie. Petit tour de la question, en s’inspirant d’un livre rédigé par l’abbé Pascal Desthieux, « Habiter le silence dans la liturgie ».
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