En librairie – octobre 2023

Par Calixte Dubosson et la librairie Saint-Augustin

Des livres

Rencontres en prison
Jeff Roux

« Au cœur de mes rencontres avec les personnes détenues, j’ai été témoin de leurs cris, de leurs luttes profondes, de leurs parcours sinueux à la recherche de leur dignité, jusqu’à pouvoir à nouveau se regarder dans un miroir. » L’auteur nous invite à plonger dans la rudesse de la vie en prison, à l’écoute de femmes et d’hommes qui ont osé aller jusqu’au bout d’eux-mêmes pour redécouvrir la valeur de leur vie et de chaque visage humain. Il s’en dégage une quête de dignité et de paix qui ne manque pas d’interroger nos propres enfermements ainsi que la qualité de notre vivre ensemble.

Editions Saint-Augustin

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(https://saint-augustin.ch/rencontres-en-prison-jeff-roux/)

Petit caïd deviendra saint
Jean-Marie Petitclerc

Michel Magon (1845-1857), jeune garçon de la banlieue de Turin, mène une vie familiale difficile et précaire, comme beaucoup d’adolescents de son âge. Sa mère vit seule après le décès de son père. Avec ses camarades de rue, Michel se révèle être un caïd précoce, capable d’organiser bons et mauvais coups, au risque d’attirer l’attention des juges et policiers. Son avenir se dessine loin de l’école, au rythme de ses petits délits… jusqu’à ce soir pas comme les autres, où il fait une rencontre qui va changer sa vie. Et si la sainteté était promise aussi au petit caïd ? Le père Jean-Marie Petitclerc est salésien de Don Bosco, prêtre et éducateur de terrain. La vie de Michel Magon, proche de saint Jean Bosco, lui a inspiré ce roman à destination des adolescents.

Editions Salvator

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Eduquer la conscience dès l’enfance
Gabrielle Vialla

Dans tout casse-tête, une fois qu’on a la solution, c’est très facile. En amont, c’est une autre affaire. Il en va de même pour la question de la conscience. A l’âge adulte, nous nous sommes tous interrogés : « Que dois-je à ma famille, à l’Eglise, à l’avis personnel ou simplement à la force de conviction de tel pasteur, de telle personne ? Qu’est-ce que je désire à mon tour transmettre ou ne pas reproduire ? » S’appuyant sur une riche tradition, illustrée par de nombreux exemples, Gabrielle Vialla nous permet de comprendre l’œuvre de la conscience au quotidien et l’action que Dieu accomplit aux différents âges de la vie. Et si la conscience, le premier de tous les vicaires du Christ selon les mots du cardinal Newman, devenait notre meilleure alliée éducative ?

Editions Artège

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Cahier d’activités pour découvrir Jésus
Aude de Vautibault, Charlotte Walckeaner

Quatorze épisodes de la vie de Jésus illustrés par une double page de BD et une double page de jeux variés. Un cahier d’activités varié et très complet pour suivre la vie de Jésus : planches de BD, quiz pour vérifier ses connaissances, rébus, mots cachés, messages codés. Un outil inédit et précieux pour découvrir, seul, en famille ou en groupe, les grands moments de la vie du Seigneur.

Editions Mame

Acheter pour 9.40 CHF

Pour commander

Ça bouge… dans «L’Essentiel» comme dans nos Paroisses !

Comme vous l’avez sans doute constaté depuis le numéro de septembre de L’Essentiel, les trois dernières pages de votre magazine ont été réagencées dans un souci de synthétiser et de présenter d’une manière plus « fluide » les différentes informations sur la vie de nos paroisses.
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Bénédiction des sacs des écoliers à la rentrée

A l’initiative du diocèse valaisan, le diocèse de LGF a proposé une bénédiction des sacs d’école pour la rentrée dans l’année scolaire. L’équipe pastorale a trouvé bon de soumettre cette invitation à tous les écoliers et étudiants de la paroisse Saint-Laurent.
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Une foi, des expériences

« Cher François, pourrais-tu écrire le prochain édito sur le thème " caté connecté " ? » me demande Pascal Tornay. Pour moi qui suis déconnecté non seulement de la KT ou du caté, mais encore des paroisses et de l’organisation de la pastorale, cela me semble être un exercice de haute voltige… sans wifi !
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Fête paroissiale à Monthey

Samedi 2 septembre, 11h35, heure du clocher. La rue de l’Eglise bat son plein : certains flânent autour de divers stands, d’autres discutent avec un verre de blanc. Gentiment, la file se forme au stand repas, les membres du CoGest sont fins prêts derrière leur four, Mario Ferreira grille ses saucisses. Les tablées se remplissent à l’ombre du grand parasol. Dans la cour, les enfants jouent. L’ambiance est conviviale, ça sent la raclette et la bonne humeur ! Bienvenue à la fête paroissiale de Monthey.
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Le cœur brûlant, se mettre en chemin…

Cette année, le Dimanche de la Mission universelle sera célébré le 22 octobre. Le thème du Mois et du Dimanche de la Mission universelle 2023 est « Le cœur brûlant, se mettre en chemin ».

Texte et photos par Missio Suisse

Ces mots font écho à l’expérience des disciples d’Emmaüs dans l’évangile de Luc (Lc 24, 13-35). Sur leur chemin, ils rencontrent le Ressuscité. Ils se rendent compte après coup que cette rencontre a rendu leur cœur tout brûlant, qui les pousse à annoncer la résurrection de Jésus.

Pendant ce mois de la Mission universelle, Missio montre, à travers l’exemple de l’Eglise en Equateur, comment la rencontre avec le Christ met en mouvement des femmes et des hommes qui vivent un quotidien fait de peur, de violence et de négation de la dignité humaine  C’est à partir de cette rencontre avec Dieu qu’ils s’engagent.

Prière pour le mois de la Mission

Père très bon, nous voulons suivre tes chemins le cœur brûlant, et d’un pas joyeux. Disciples missionnaires, sans craindre nos faiblesses nous marchons dans l’espérance avec Jésus pour porter ta parole à nos frères et sœurs aux quatre coins du monde. Rends-nous forts par la puissance de ton Esprit. Amen.

(Prière écrite conjointement par Missio Equateur et Missio Suisse)

Appels des Evêques suisses à l’occasion du mois missionnaire

Par l’Abbé Jean Scarcella, responsable du Secteur Mission

Chères sœurs, chers frères,

« Chaque être humain a le droit de recevoir l’Evangile. Les chrétiens ont le devoir de  l’annoncer sans exclure personne, non pas comme quelqu’un qui impose un nouveau devoir, mais bien comme quelqu’un qui partage une joie, qui indique un bel horizon, qui offre un banquet désirable. L’Eglise ne grandit pas par prosélytisme mais « par attraction ». Ces paroles fortes du pape François dans son Exhortation apostolique « La joie de l’Evangile » du 24.11.2013 (n° 14-15) nous rappellent que la mission est l’affaire de toutes et tous, et non pas de quelques « spécialistes » ou organismes dédiés. Du fait de son baptême, chaque croyant est appelé à être disciple-missionnaire.

[…] Aujourd’hui, c’est dans plus de 120 pays que la quête du Dimanche de la Mission universelle est réservée pour soutenir les diocèses qui ne sont pas encore financièrement autonomes, en Afrique, en Asie, en Amérique latine et en Océanie. L’Eglise hôte pour cette année 2023 est l’Eglise en Equateur, avec qui Missio Suisse a déjà tissé des liens solides ; l’Eglise y est très vivante, active au plan pastoral, caritatif, éducatif et social, tout comme elle est facteur de stabilité politique.

Nous vous remercions d’avance de l’accueil bienveillant que vous réserverez à notre appel.

L’Eglise en Equateur : une témoin, Sœur Irma Navarro

Sœur Irma, vous êtes directrice diocésaine pour les missions, que vous dit le thème « Le cœur brûlant, se mettre en chemin » ?
Le cœur fait naître les idées et l’amour, les pieds nous portent pour aller vers les autres. Si le cœur ne brûle pas comme pour les disciples d’Emmaüs, rien n’est possible dans le travail de l’évangélisation. Je rappelle la phrase de Thérèse de l’Enfant-Jésus, la patronne de ma congrégation (et la patronne des Missions) : « Je serai l’amour ». 

Et la mise en œuvre du processus synodal voulu par le pape François ?
En Equateur, nous connaissons la très belle expérience de la « minga ». C’est une façon d’avancer ensemble connue des peuples indigènes, dans laquelle tous se réunissent pour un travail à faire en commun, pour un objectif communautaire. La participation et le travail en commun se trouvent en effet dans nos racines ancestrales. Au début, l’évangélisation passait par les missionnaires. Maintenant nous y participons à égalité, spirituellement et matériellement. L’Equateur compte de nombreuses communautés sans aucune ressource. Si dans vos cœurs généreux naît l’envie de nous soutenir, je vous dis merci : nous vous offrirons nos prières et notre affection.

Mgr Antonio Crameri, originaire des Grisons et né à Locarno, est évêque du Vicariat apostolique d’Esmeraldas, dans le nord-ouest de l’Equateur. La région souffre d’une violence endémique et des trafics illégaux, notamment de drogue. Outre son engagement en pastorale, Mgr Crameri est aussi fortement engagé sur le terrain social. C’est « L’Evangile mis en actes », avec le souci de l’éducation (34 institutions et 30’000 élè–ves) et de la santé, car l’hôpital de San Lorenzo, et le home pour personnes âgées d’Esmeraldas sont gérés par le Vicariat. Le climat de violence, les distances, l’état des voies de communication sont autant de défis pour l’évêque, qui puise sa force dans la prière et dans son tempérament résolument optimiste.

Faites un don en faveur des projets de Missio en Equateur

Cliquez sur le lien suivant et choisissez le moyen de paiement. MERCI.
https://www.missio.ch/fr/pay?qr_link=6&cHash=d8ce5a0ad33142a54d8d5c13ed58bd33

–> Retrouvez les détails de la campagne sur www.missio.ch/dmu

Denis Rossier, heureux auxiliaire funéraire

Denis Rossier a longtemps œuvré professionnellement dans le milieu bancaire. Il a aussi siégé avec fidélité dans des Conseils de paroisse. Préretraité, il œuvre désormais à temps partiel comme auxiliaire funéraire pour les entreprises Périsset et Verdon. Une activité dans laquelle il se sent gratifié. Il en parle avec un bel enthousiasme.
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Près de chez nous, l’Abbaye Notre-Dame d’Abondance

En France voisine, dans le village d’Abondance, il est un bijou niché dans un écrin de verdure s’ouvrant sur un cirque de montagnes : fondée au 12e siècle par des chanoines issus de l’Abbaye de Saint-Maurice d’Agaune, Notre-Dame de l’Assomption connaîtra grandeur et décadence avant de devenir le premier édifice savoyard classé au titre de « Monument historique » en 1875.
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Nos fleuristes au service de la prière

Le samedi 19 août, les fleuristes de nos paroisses se sont rencontrés à la cure de Choëx pour une formation. Certains sont déjà expérimentés, d’autres viennent de commencer ce service, tous ont à cœur de rendre nos églises belles et accueillantes pour les messes dominicales.
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Steve Perrinjaquet: Un Monsieur pompes funèbres épanoui

Pierre Périsset est l’un des personnages parmi les plus connus dans le landerneau broyard ! Un demi-siècle de règne à la tête des pompes funèbres locales, ça marque ! Celui qui dirige les Pompes funèbres Périsset à Estavayer et Verdon à Payerne, Steve Perrinjaquet, assume avec beaucoup d’entregent cette succession de « M. Pompes funèbres » dans toute la région broyarde. Et avoue qu’il a voulu exercer cette activité particulière.
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L’aventure d’une centenaire

Le parcours de Marguerite Blanchard (1898-1998) publié aujourd’hui sous le titre « Une vie rayonnante »*, reflète l’action extraordinaire de Dieu dans la vie ordinaire d’une enfant, d’une adolescente, d’une femme qui a choisi de placer sa confiance en Jésus, en toute circonstance.
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Le «Café deuil» ou… s’ouvrir pour moins souffrir

Une fois par mois, le troisième mercredi, deux femmes possédant un bagage d’« écouteuse » animent à Estavayer un « Café deuil ». Un rendez-vous où les personnes endeuillées peuvent venir s’ouvrir de leurs peines, chagrin, douleurs sans aucun jugement ni connotation religieuse. Un lieu « pour s’ouvrir afin de moins souffir ».
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« Le malade passe avant la maladie »

Par Thierry Schelling
Photo : DR

A la Saint Luc, en octobre 2021, le pape François reçoit des membres de la Fondation du campus bio-médical de Rome. Il leur dit trois petites choses :

« Le malade passe avant la maladie » ; « pas juste des professionnels, mais des personnes qui s’accueillent et s’entraident », la thérapie de la dignité humaine ; « les soins sans la science sont vains et la science sans les soins est stérile. » De belles petites « capsules » de méditation pour le corps médical dans son entier.

Il continue par décrier la mise du profit comme première intention au lieu des besoins des malades, spécialement ceux qui ne peuvent pas payer les coûts exorbitants de leur traitement. Une constante bienveillance pour la profession qui ne date pas d’hier.

« Détabouiser » le sujet !

Pie XII, en 1949, reçoit les médecins catholiques pour les exhorter à être des « agisseurs sur le corps et l’esprit » du patient. Il parle de « vocation » de médecin. Mais ce seront les photos de son visage agonisant qui seront divulguées par son propre médecin (!) aux médias, qui feront un réel scoop : désormais, la santé du pape, son agonie même, sont « détabouisées » !

Entre secret et polémique…

C’est dès Léon XIII que l’on a des écrits liant pape et médecins1 – le sien, personnel, appelé archiatra pontificio – titre hérité de la Byzance chrétienne – dont la liste commence au XVIIIe siècle déjà ! Mais cela ne signifie pas que l’on peut divaguer sur la santé du pontife. Qui se souvient que Paul VI a été opéré « d’une souffrance de routine chez les hommes d’un certain âge » (la prostate !) ou que Papa Wojtyla souffrant de la Parkinson a été montré au monde jusqu’à la toute dernière apparition du Palais Apostolique et dont les proches affirmaient : « Ce sont les meilleures années de son pontificat ! » (sic !) 

Jadis indicible, la santé du Pape aujourd’hui alimente potins et journaux : pour une inflammation d’un genou, on évoque un prochain conclave ! Pour un aveu de « névrose » – François avait confié à N. Castro d’écrire l’ouvrage précité « dans lequel je vais vous parler de mes névroses » ! –, on crie à l’inaptitude à gérer les affaires… 

Sans oublier les morts de deux papes pour des problèmes cardiaques, Pie XI et Jean-Paul Ier, mais qui, le jour d’après, auraient dû prononcer des discours forts…De là à diagnostiquer un complot, il n’y a qu’un coup de bistouri !

1 Cf. N. Castro, La santé des papes : médecine, complots et foi. De Léon XIII à François, Piemme, 2021.

En rénovation

La rénovation de l’église de Bovernier suit son cours avec son lot de surprises, comme la découverte de croix colorées peintes mais cachées par la rénovation de 1979, ou encore le trou béant qui s’est ouvert soudainement sous les chenilles de la rétro dans le cœur de l’église laissant apparaitre une ancienne tombe sans doute des débuts de l’église.
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JMJ Lisbonne 2023

Près de 500 jeunes Romands, dont plus de 80 Fribourgeois, ont participé aux Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Lisbonne. Petit retour sur les moments forts de cette rencontre.

Par Véronique Benz et João Carita | Photos : J. Carita

Fête nationale

Après une nuit plus ou moins reposante dans les familles ou les lieux de logement collectifs de Colares, les jeunes Romands se sont déplacés vers le nord de Lisbonne pour rejoindre les jeunes venus de Suisse alémanique et de Suisse italienne. Ensemble ils ont célébré le 1er août par des chants de louange, des témoignages ainsi qu’une catéchèse de Mgr Pierre Bürcher, évêque émérite du diocèse de Reykjavik. Pendant la matinée, le groupe a aussi accueilli de manière chaleureuse plus de 40 pèlerins qui ont fait le trajet depuis la Suisse à vélo.

Les catéchèses

Les rencontres « Rise Up » se substituent à la catéchèse traditionnelle des JMJ. Elles proposent à travers une méthode synodale une expérience de foi et de rencontre avec le Christ dans un climat de communion et de participation.

Accueil du pape

Plus d’un million de personnes étaient présentes le jeudi 3 août à la colline de la Rencontre (Parc Eduardo VII) pour la cérémonie d’accueil du pape François. La célébration était animée par l’Ensemble23, un groupe de 50 jeunes de 21 nationalités différentes. Sur scène il y avait aussi le chœur et l’orchestre des JMJ, composé de 210 chanteurs et 100 musiciens provenant de tous les diocèses du Portugal, sous la baguette de Joana Carneiro. Sous la direction du chef d’orchestre Sérgio Peixoto, une chorale composée de 6 personnes sourdes était au service des malentendants.

Le chemin de croix

Lors du chemin de croix qui a eu lieu au parc Eduardo VII, le pape François a demandé aux jeunes : « Est-ce qu’il vous arrive de pleurer de temps en temps ? Y a-t-il des choses dans la vie qui me font pleurer ? Nous pleurons tous dans la vie et Jésus pleure avec nous. » « Jésus, avec sa tendresse, essuie nos larmes cachées. Jésus espère combler notre solitude par sa proximité. Comme sont tristes les moments de solitude », a-t-il souligné. Le pape a parlé des peurs « sombres » qui affectent les personnes, invitant chacun à « prendre le risque d’aimer ».

Veillée de prière

L’un des moments les plus intenses de ces JMJ a été la veillée de prière à Campo da Graça.

À travers la danse et le théâtre, les pèlerins ont été invités à réfléchir sur la manière de rencontrer Dieu dans leur quotidien. L’adoration eucharistique a suivi avec l’exposition du Saint-Sacrement d’une manière simple et profonde, au son d’un orgue. Le silence s’est alors installé dans Campo da Graça, traduisant une communion totale entre les jeunes.

Messe d’envoi

Le pape a exhorté les jeunes à « ne pas avoir peur » de la vie. Il s’adressait aux 1,5 million de participants aux JMJ 2023 au cours de la messe d’envoi, le dernier événement du rassemblement.

« Jésus est la lumière qui ne s’éteint pas, la lumière qui brille là où il fait nuit », a-t-il ajouté. Le pape François a averti : « Personne ne devient lumineux en se mettant sous les projecteurs ou en présentant une image parfaite, forte. »

« Nous brillons lorsque, accueillant Jésus, nous apprenons à aimer comme lui. Aimer comme Jésus nous rend lumineux et fait de nous des œuvres d’amour », a-t-il déclaré. Le pape a également parlé du verbe « écouter », estimant que l’écoute de Jésus représente « tout ce que l’on doit faire dans la vie ». Il a recommandé à chaque jeune de prendre l’Évangile pour y trouver « des paroles de vie éternelle ».

Les prochaines JMJ auront lieu à Séoul en Corée du Sud en 2029. Vous trouverez toutes les informations sur le site : www.jmj.ch

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