Jeux, jeunes et humour – juillet-août 2023

Par Marie-Claude Follonier

Question jeune

Quel Jacques fête-t-on le 25 juillet ?
Parmi les apôtres appelés par Jésus, on distingue Jacques de Zébédée, frère de Jean, et Jacques d’Alphée associé à l’apôtre Thadée. C’est le premier qui est fêté en ce jour et appelé « le Majeur ». Les Actes des Apôtres rapporte sa mort à la suite de la persécution d’Hérode et en fait le deuxième martyr après Etienne. Une tradition ultérieure en fait l’évangélisateur de l’Espagne où il est vénéré à Compostelle.

par Pascal Ortelli

Humour

Une épouse essayait désespérément de guérir son mari d’un penchant à l’alcool. Après de multiples tentatives infructueuses, elle décida de prendre les grands moyens. « Si tu rentres une nouvelle fois éméché, tu n’échapperas pas à la caresse de mon rouleau à pâte. » Sentant que cela devenait sérieux, le mari promit de ne plus recommencer. « D’ailleurs, dit-il, dès ce soir, à la place du bistrot, j’irai à la chasse aux escargots. » Il en recueillit une grande quantité dans un sac qu’il mit sur ses épaules. Au moment de rentrer chez lui, des copains insistèrent pour boire un verre au bistrot du coin. Après plusieurs refus, il accepta mais, dit-il : « Juste un verre ! » Ce qui devait arriver arriva et au lieu de revenir chez lui à 20h, il arriva à 23h. Au moment de franchir le seuil, il buta sur le perron et tous les escargots se répandirent dans le couloir sous les yeux de sa femme. Dans un éclair de lucidité, il regarda vers les escargots et il dit tout fort : « Voilà les petits, on est enfin arrivés ! »

par Calixte Dubosson

Spectaculaire interprétation de l’organiste Philippe Marchello

En jouant dimanche 18 juin, après la messe, la célèbre pièce « L’orage » de Jacques Vogt, Philippe Marchello a marqué d’une manière spectaculaire ses trente ans de présence à l’orgue de la collégiale d’Estavayer. Une église comble a réservé une standing ovation à cet organiste passionné autant que dévoué.
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Des héritages à raviver

Depuis 50 ans, l’Atelier Œcuménique de Théologie (AOT) s’intéresse à la diversité des héritages chrétiens pour établir durablement des traits d’union entre confessions chrétiennes. Dès septembre, la nouvelle volée s’interrogera sur la manière de raviver ces héritages respectifs. Entretien avec Anne Deshusses-Raemy, codirectrice catholique, et Blaise Menu, son homologue protestant.

Par Myriam Bettens | Photos : J.-Claude Gadmer, M. Deshusses

L’œcuménisme est aujourd’hui perçu comme un acquis. Comment nourrir le débat œcuménique de nos Eglises, qui semble un peu… endormi ?
Anne Deshusses-Raemy – C’est un acquis parce que nous sommes les héritiers de ces pionniers qui ont fait un travail énorme pour l’unité. Et ce n’est pas un acquis parce que l’œcuménisme semble un peu victime de son succès. Beaucoup de choses se passent à la base et ne sont pas reconnues par les institutions. A l’inverse, des initiatives se concrétisent, en bilatéral, entre les Eglises mais ne descendent pas à la base ou ne sont pas acceptées.
Blaise Menu – L’horizon que nous pouvons avoir par rapport à l’œcuménisme est à l’image de la compréhension de l’origine et elle a beaucoup changé. Nous avions un regard relativement unitaire et complètement imaginaire sur l’Eglise des origines, alors que le christianisme est dans la diversité et le conflit depuis le début ! Si l’œcuménisme est de revenir à cette espèce d’unité parfaite, rêvée, c’est une pure illusion. L’œcuménisme ne peut que faire face à sa diversité. Je ne sais pas s’il est un objectif ou un chemin, mais j’opterais plutôt pour le second. Un chemin sans cesse à réentreprendre.

N’y a-t-il pas également un changement de la compréhension de ce qu’est l’œcuménisme et donc des attentes qui s’y rapportent ?
ADR – Dans la société, le terme commence à prendre une connotation interreligieuse. Dans les milieux ecclésiaux, les positions se polarisent beaucoup plus qu’avant entre ceux qui sont fatigués et ceux pour qui œcuménisme rime avec « surtout pas ».
BM – Auparavant, on pouvait compter sur une compréhension partagée. Aujourd’hui, c’est beaucoup plus flou et cela va dans plusieurs directions. Ce qu’on constate surtout, c’est une espèce de fatigue par rapport aux appareils ecclésiastiques et l’incompréhension que nous soyons toujours à nous diviser pour des choses qui apparaissent de plus en plus pour les gens comme des broutilles.

Comment parler aujourd’hui d’œcuménisme quand pour beaucoup de chrétiens cet héritage (ou identité) est synonyme de blessure ?
ADR – C’est d’abord de reconnaître la blessure. Les formations comme l’AOT permettent de les mettre au jour, pour ensuite en guérir certaines. En remettant notre théologie en perspective par la contextualisation, cela permet de se demander si aujourd’hui, certains de ces principes sont toujours aussi pertinents pour notre vie de croyant.
BM – Nous connaissons les casseroles de nos institutions et de nos théologies. Nous essayons de faire en sorte que ce tintamarre de casseroles que l’on traine devienne quelque chose d’un peu plus musical ! Si on refuse ces casseroles, on laisse le tintamarre derrière nous. Plus que de nommer les blessures, nous cherchons à donner aux participants des outils pour comprendre comment le réaliser.

Est-ce que la posture d’« œcuménisme poli » a rendu la parole moins impertinente et stimulante ?
BM – Je pense que c’est tout à fait juste. A la base des démarches œcuméniques, il y a une réalité qui est celle de la rencontre. Des personnes qui se parlent franchement, vont au bout des choses et apprennent à s’apprécier. Cela traduit un œcuménisme d’agapè, d’amour mutuel, que le Christ nous a commandé.
ADR – Et c’est dans ce sens que cela doit aller… l’amour pour atteindre ensuite l’unité et non pas l’inverse. Mais une unité dans la diversité. C’est aussi la raison qui nous a décidés à nous demander comment devenir un ferment pour cet œcuménisme.

La foi en héritages ?

« Chacune et chacun d’entre nous vient de quelque part : une famille, un lieu, une culture, une tradition, une religion, un milieu social… que nous portons, selon notre histoire, comme un poids lourd ou comme un étendard. C’est ce « quelque part » que nous nommons « héritages ». Il arrive qu’il soit non pas unique ou unifié, mais multiple, croisé, entrelacé. Pour Confronter les points de vue et rivaliser d’estime mutuelle, l’Atelier Œcuménique de Théologie (AOT) lance sa 26e volée sur la thématique des héritages.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 15 septembre prochain ! 

Plus de renseignements sur aotge.ch

L’équipe enseignante et administrative de l’AOT se met au vert en attendant ses futurs étudiants.

Notre Dame de la Visitation

Notre Dame de la Visitation, Toi qui partis vers la montagne rejoindre Elisabeth en hâte, Conduis-nous nous aussi à la rencontre de tous ceux qui nous attendent Afin que nous leur annoncions l’Evangile vivant : Jésus Christ, Ton fils et notre Seigneur ! Nous nous hâterons, sans nous laisser distraire et sans retard, Dans la disponibilité et la joie.
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Jésus marche sur l’eau, vitrail de Jaeger, église Saint-Pierre, La Chaux-de-Fonds

Le Seigneur dégage une grande stabilité.

Par Amandine Beffa | Photo:Jean-Claude Gadmer

Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais moi, j’ai toujours imaginé que Pierre marchait sur une mer calme, lisse comme une patinoire. L’histoire que nous raconte ce vitrail est bien différente. Le travail du verre met en évidence des flots sombres et agités. Et en effet, lorsqu’on lit l’épisode rapporté dans l’Evangile selon saint Matthieu (14, 22-33), on remarque que la barque est battue par les vagues, que le vent est contraire et qu’il fait nuit. 

En arrière-plan du vitrail, les disciples semblent lutter pour maintenir leur embarcation. Le personnage en bleu clair tient fermement les cordages. Pierre a de l’eau jusqu’à la taille, la situation semble tragique. Pourtant, son visage est étonnamment calme. En s’attardant sur la poignée de main par laquelle Jésus le retient, on observe qu’elle est solide. Le Seigneur dégage une grande stabilité.

L’inscription au bas de l’œuvre rappelle la demande de Jésus à Pierre : « Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ? » (Matthieu 14, 31)

Se pose alors une question : à quel moment Pierre a-t-il douté ? Est-ce le moment où il a pris peur en marchant sur l’eau ? Peut-être… et en même temps, sa première réaction est de crier vers Jésus pour être sauvé. Le visage du disciple sur le vitrail exprime cette sérénité de celui qui sait que le Seigneur est à ses côtés dans les épreuves.

Peut-être est-ce le doute initial : « Seigneur, si c’est bien toi, ordonne-moi de venir vers toi sur les eaux. » (Mt 14, 27-28)

Le grec nous donne un élément de réponse. Le mot que nous traduisons généralement par « douter » signifie littéralement « se tenir entre deux ». Il exprime quelque chose de l’hésitation.

Et si le problème n’était ni de demander des preuves, ni d’avoir peur face à l’adversité, mais de ne pas aller au bout de l’élan. Et si ce que Jésus demande a Pierre était : « Homme de peu de foi, pourquoi as-tu renoncé ? »

Patrimoine et richesse collective

Des jeunes de divers cantons romands profitent de cet espace de liberté pour évoquer un sujet qui les intéresse. Rencontre avec la Valaisanne Laetitia Vergère. 

Par Laetitia Vergère
Photo: DR

Le patrimoine, dans sa diversité, est une source de richesse collective et d’héritage. Il constitue un facteur de rapprochement, de tolérance, de liberté et de respect. Sa destruction représenterait une menace, c’est pourquoi il est primordial de le protéger et de le garder précieusement afin d’éviter qu’il disparaisse de la conscience générale. 

Ainsi, restaurer une église ou un autre bâtiment religieux est nécessaire sur plusieurs points. Tout d’abord, cela permet de garder les fondamentaux : les murs, les vitraux, l’autel, etc. Aussi, il incite à garder une certaine cohérence architecturale et permet aux fidèles et aux visiteurs de reconnaître aisément de quelle confession fait partie l’édifice. Et finalement, la restauration peut permettre de donner « un coup de neuf », en remettant le bâtiment au goût du jour, adapté à l’époque de restauration.

Mais la restauration est-elle uniquement physique, se rapportant à l’édifice, ou bien pourrait-on aller plus loin ? L’église (la bâtisse) et l’Eglise (la communauté) n’ont-elles pas les mêmes besoins ? 

Le mot Eglise – du grec ekklêsia, qui signifie « assemblée » et provient du verbe ekkaleô (« je convoque ») – désigne à la fois la communauté religieuse fondée par Jésus-Christ, le christianisme et l’institution religieuse qui a été mise en place autour de cette foi commune. Comme nous le rappelle l’Evangile selon saint Matthieu (Mt 9, 13) Jésus « n’est pas venu appeler des justes, mais des pécheurs ». Peut-être qu’une restauration de la pensée et du jugement serait nécessaire, en grattant les dorures et les parures de l’Eglise actuelle, afin de retrouver ceux que Jésus est venu appeler : tout le monde, quel qu’il soit, afin que chacun se sente accueilli et accepté, dans l’Amour du Christ et de la Communauté ? 

Les servants de messe en sortie à Lausanne

Le lundi de Pentecôte (le 29 mai), nous sommes allés à la cathédrale de Lausanne avec les servants de messe de Monthey et Choëx. Cet édifice religieux qui était d’abord rattaché à l’évêché fut voué au culte protestant dès 1536. Cette sortie était organisée par « Les Anciennes » pour remercier le groupe des servants qui ont fidèlement servi aux messes durant cette année. Par chance, le soleil nous a accompagnés tout au long de notre journée, lui donnant des airs de vacances.
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Des couleurs et des sens

Par Pierre Guillemin | Photo : Pixabay

Les couleurs suscitent en nous des émotions. D’un point de vue statistique, le bleu, par exemple, est aimé par 57 % des hommes, mais seulement par 35 % des femmes. 23 % des femmes aiment le violet mais 0 % des hommes. 

Dans l’Antiquité, la couleur bleue était le symbole du deuil, du malheur et du désarroi, mais ces croyances se sont inversées après l’an mille. Chez les Romains, cette couleur était associée aux barbares : avoir les yeux bleus était dévalorisant et personne ne portait de vêtements de ce coloris avant le IIIe siècle. Les XIIe et XIIIe siècles marquent une « révolution du bleu » du fait de la théologie. Dieu est un dieu de lumière et celle-ci se manifeste de deux façons : la lumière divine (lux) et la lumière terrestre (lumen). Pour les différencier, il fallait trouver une technique dans les images : le ciel au sens de la couche atmosphérique devient bleu, alors que l’or est utilisé pour représenter la lumière divine et le Ciel au sens du paradis céleste. Le bleu est devenu le symbole de la pureté, de la spiritualité en désignant des valeurs positives comme la force, le sacré, l’inaccessible (le Ciel).

A Rome, le rouge est associé au pouvoir. C’est la couleur des généraux, des patriciens et plus tard des empereurs. Son usage est d’ailleurs réglementé et interdit à ceux qui ne font pas partie de ces catégories. Le Code Justinien (VIe siècle ap. J.-C.) condamne à mort ceux qui achetaient ou vendaient le tissu de couleur Porpora à mauvais escient.

Dans la culture chrétienne, la royauté spirituelle de la Vierge revêt des insignes de la royauté temporelle, dont le rouge. Ceci indique, aussi bien pour la Vierge que pour le Christ, leur nature humaine, alors que pour tous deux, le bleu est indice de divinité. Lorsque l’habit de Marie est une robe rouge, recouverte d’un manteau bleu, le rouge signifie son lien avec le monde terrestre tandis que le bleu (plus ou moins foncé) est la couleur spirituelle, par analogie avec le Ciel, mais aussi parce que le bleu est la couleur la plus coûteuse pour les artistes du Moyen-Age, car elle provient du lapis-lazuli broyé.

Synesthésie

Mais les couleurs peuvent aussi être associées aux sons, aux goûts. C’est ce qu’on appelle la synesthésie. Environ 4 à 6 % de la population avec une proportion significative de « créatifs » possède cette capacité d’association entre les couleurs et les émotions. Pensons à Arthur Rimbaud et son poème « voyelles » (1871), Van Gogh (La nuit étoilée, 1889), Charles Blanc-Gatti (Suite bergamasque de Debussy, 1930), Kandinsky (composition VIII, 1923). 

Et nous, ne sommes-nous pas émus devant la beauté des couleurs d’un vitrail d’une église ou d’une cathédrale ? Nos prières n’en sont-elles pas plus éclairées ?

Du cœur à la partition

Bien connu sur le coteau de Choëx où il a grandi, Guillaume Délèze anime régulièrement des messes à l’orgue ou au piano. Parmi ses projets musicaux variés, ce musicien « touche-à-tout » a récemment composé deux ordinaires pour la messe. Guillaume nous partage son expérience et sa passion pour la musique.
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Pour le meilleur et pour le pire

Peter To Rot.

Beaucoup ont parié qu’il deviendrait prêtre. Au lieu de cela, Peter To Rot a non seulement fondé une famille, mais aussi engagé sa propre vie pour défendre le mariage. Méconnu en Europe, il est vénéré par les catholiques d’Océanie.

Par Myriam Bettens | Photo: DR

C’est en 1912, que la ville de Rakunai, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, a vu naître celui que beaucoup considéraient comme un leader né. A 21 ans à peine, Peter To Rot était déjà un catéchiste accompli et servait de bras droit au prêtre missionnaire de la paroisse locale. Ce dernier, croyant déceler en son collaborateur les germes d’une vocation sacerdotale, envisage de l’envoyer en Europe pour qu’il y fasse des études. Peter s’est donc préparé à ce ministère, confirmant tout ce que le missionnaire avait vu en lui : une étonnante capacité à enseigner, une connaissance approfondie de la Bible, une facilité à entrer en relation avec tout le monde et une forte influence sur les autres, en particulier sur les jeunes. Contre toute attente, le jeune homme se marie en 1936, mais poursuit néanmoins sa vocation de catéchiste laïc.

En 1942, les forces impériales japonaises envahissent toute la région et s’attaquent à ce qu’ils estiment être la « religion apportée par les Occidentaux ». Les missionnaires européens sont capturés et internés dans des camps de concentration et les lieux de culte détruits. Peter poursuit malgré tout sa tâche et prend en charge la communauté privée de curé. Il baptise, visite les malades, assiste aux mariages : son statut de laïc autochtone lui offre alors une relative sécurité. Or, les Japonais le surveillent de près, bien conscients qu’il constitue le seul point de référence pour les catholiques de la région. Mais les choses tournent court pour Peter lorsqu’il prend clairement position contre la décision des autorités japonaises d’introduire la polygamie dans son pays. A Noël 1944, les autorités japonaises l’arrêtent et l’emprisonnent dans un camp de concentration. Ils veulent rapidement se débarrasser de lui et la nuit du 7 juillet 1945, trois fonctionnaires assassinent en secret Peter To Rot par injection létale. Il est béatifié par le pape Jean-Paul II le 17 janvier 1995 lors de sa visite en Papouasie-Nouvelle-Guinée.

La chapelle du Closillon: dernière messe paroissiale

Une page d’histoire se tourne plus précipitamment qu’envisagé. La dernière messe paroissiale a été célébrée le samedi 17 juin à la chapelle du Closillon. Et pour cause, la vétusté du bâtiment exige une mise en conformité de tout le système électrique. Explication avec Bernard Premand, président du Conseil de Gestion.
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En librairie – juillet-août 2023

Par Calixte Dubosson et la librairie Saint-Augustin

Des livres

La sainte au rocher
Philippe le Guillou

Dans cette nouvelle pérégrination religieuse et littéraire, Philippe Le Guillou revisite les lieux qui ont marqué la vie de Bernadette Soubirous : le « cachot » de Lourdes, où elle vécut avec sa famille ; le petit village de Bartrès, où elle gardait les moutons ; la Grotte de Massabielle, où « la belle Dame » lui est apparue ; sans oublier le couvent Saint Gildard de Nevers, où elle servit, avec humilité, les pauvres et les malades.

Ce texte, sensible et poétique, fait revivre Bernadette. Il retrace sa vie et dit surtout sa foi profonde, les épreuves qu’elle a traversées et le caractère exceptionnel de sa destinée.

Editions Salvator

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En arrivant au Paradis
Richard de Seze

Une religieuse de la Drôme et un intellectuel parisien agnostique meurent. L’une arrive au Paradis, l’autre au Purgatoire. Devant eux, se dévoile la grande bureaucratie céleste : la réception des prières et leur traitement, la fabrique des saints et le repos des anges gardiens, les archives des fautes à réparer. Richard de Seze fait naître ici un merveilleux chrétien empreint d’humour et proche de nous sans jamais faire abstraction des vraies questions. Un conte plein de tendresse qui rend l’au-delà familier.

Editions du Cerf

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Moi, Jean de la Croix
David Clair

Jean de la Croix est un immense poète, un réformateur de l’Ordre du Carmel et un mystique, promoteur d’une vision exigeante, mais tendre de l’être humain. C’est par le biais de la fiction que David Clair nous fait entrer avec subtilité et sensibilité dans la psychologie de cet être fascinant.  S’affranchissant des cadres habituels, ce livre introduit le lecteur à une compréhension profonde d’un homme hors du commun, dont le message invite à se recentrer sur l’essentiel, à suivre son cœur et à renouer avec la subjectivité et la sensibilité. Un roman passionnant. 

Editions du Cerf

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Foucauld – Une tentation dans le désert
Jamar Dufaux

Charles de Foucauld fut, tour à tour, un riche héritier noceur, un officier débonnaire, un explorateur audacieux, un converti radical, un ermite au désert, un traducteur émérite, puis, l’ami des juifs et des musulmans, le frère universel. Cette BD se polarise sur les derniers jours de ce saint canonisé en 2022. Comme s’il pressentait sa fin proche, Charles tente de transmettre sa raison de vivre aussi bien à ses amis qu’à ses ennemis, en témoignant de l’amour de Dieu et de cette mystérieuse fraternité qui le lie à tous les hommes.

Editions Dargaud

Acheter pour 23.80 CHF

Pour commander

Que devient la Maison Cana?

L’on se souvient que la Maison Cana, près de Muraz, a accueilli tout d’abord une communauté de sœurs sous la direction du Père Bernard Müller et d’Anne-Marie. Puis elle a hébergé des ex-sœurs de la Communauté Saint-Jean. Aujourd’hui la maison Cana connaît de profonds changements, sous la coordination de Joëlle Carron, laïque consacrée, mandatée par notre évêque dans le domaine de la Diaconie et de la Solidarité et secondée dans sa tâche par le Conseil de Fondation de la Maison Cana.
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En pèlerinage à vélo aux Journées Mondiales de la Jeunesse !

Dûnya, 16 ans, se rendra à partir du 22 juillet aux JMJ de Lisbonne. Après un voyage en car jusqu’à Saint-Jacques-de-Compostelle, le pèlerinage se poursuivra à vélo jusqu’à Lisbonne au Portugal. A l’approche du départ il nous raconte sa motivation, sa préparation et ses attentes.
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