Justine Luisier

PROPOS RECUEILLIS PAR VINCENT LAFARGUE
PHOTOS : LDD

T’es-qui?
Justine, 22 ans, éudiante en histoire contemporaine et communication à l’Université de Fribourg. J’habite à Fribourg.
Tu t’engages où?
Je suis animatrice pour les ados à Lourdes et j’accompagne aussi les camps réflexion du Collège de Saint-Maurice.
Site des ados de Lourdes: www.pele-ete-lourdes.ch/ados

Justine, pour toi, l’Eglise de demain sera…?

Elle sera jeune, dynamique et vivante!

Ton origine valaisanne t’amène donc à faire des camps avec les jeunes de Saint-Maurice. Comment cela se passe-t-il ?

Nous organisons des camps au Simplon (une semaine avec les 3e) et au Saint-Bernard (trois jours avec les 4e). Les jeunes viennent de tous horizons. On est là pour les encadrer, déjà. Il y a bien sûr de nombreuses activités pas forcément en lien avec Dieu, mais le fait d’avoir des animateurs chrétiens engagés fait que nous sommes là pour partager avec eux leurs questions autour de la foi.

Et avec les jeunes de Lourdes, que fais-tu ?

Depuis 3 ans je pars avec les ados à Lourdes. Nous les guidons dans leur chemin de foi mais aussi pour qu’ils vivent un moment inoubliable à Lourdes, avec les malades dont ils s’occupent également.

Qu’est-ce que ces engagements t’apportent pour ta foi, ta vie chrétienne ?

Cela m’apporte beaucoup! Etre confrontée à des jeunes qui n’ont pas forcément la foi m’apprend à voir les choses différemment et à changer ma façon d’aborder les gens qui viennent d’autres horizons. Mes études en histoire contemporaine et en communication m’amènent aussi à changer mon regard, à poser sur les événements un jugement neutre. Si on peut le faire en étudiant des événements historiques, on peut naturellement le faire – ou du moins on devrait! – face à des événements de tous les jours, face à la personne qui nous parle aussi.

Qu’aimerais-tu dire aux jeunes qui hésitent à s’engager, qui disent que la religion, c’est pour les vieux ?

Je leur dirais que j’ai aussi connu une période durant laquelle je me suis dit que l’Eglise, c’était pour les vieux et pas pour moi. Mais peu à peu j’ai remarqué qu’il y avait plein d’activités pour nous, qu’il suffisait d’ouvrir les yeux parce que tout existe autour de nous. C’est à nous d’aller vers l’Eglise !

Ex-voto!

Par Pascal Bovet
Photo : Jean-Claude Gadmer

Les lieux de pèlerinages sont souvent riches en ex-voto (c’est-à-dire «selon un vœu») en remerciement pour grâces obtenues.

Ce n’est pas du Michel-Ange, c’est plus petit, mais qui peut mesurer ce qu’il y a dans le cœur de celui ou de celle qui essaie de dire Merci à un bienfaiteur ? Dans la parabole des dix lépreux, un seul est revenu, un samaritain, mal vu à Jérusalem, pour remercier Jésus. (Luc 17, 11-19)

Ces lieux de prière ont d’abord souvent accueilli une personne en situation de détresse.

Son intercession a porté un fruit: miracle ou pas, un «salut» est arrivé et le bénéficiaire exprime sa reconnaissance. «Merci pour ma guérison » peut s’exprimer de multiples manières personnelles où l’art devient second, au service de la prière; est-ce pour autant un art populaire ou naïf comme on l’appelle parfois?!

L’ex-voto ici représenté se trouve à la chapelle du Vorbourg, qui domine Delémont. L’histoire évoquée n’est pas explicite. A défaut d’historique, on peut penser à l’accueil au ciel d’un religieux. A noter que c’est la Vierge Marie qui est à l’accueil ce jour-là de 1707.

Auteur inconnu.

Histoire du cinéma

Trois périodes du cinéma religieux
Trois périodes du cinéma religieux

Par Jean-Luc Wermeille

Dès leurs tout premiers films, les frères Lumière illustrent la vie de Jésus à l’écran. Toutefois, c’est surtout après 1945 que se développent de grands péplums dont l’action se situe dans l’Antiquité et plusieurs d’entre eux sont basés sur les textes bibliques. Ben-Hur, par exemple, évoque Jésus avec beaucoup de finesse, sans jamais montrer son visage. Les années 1960 et 1970 voient l’éclosion de nombreux films qui portent un regard très critique; le cinéma religieux y fait sa crise d’adolescence en quelque sorte. Jésus de Nazareth de Franco Zeffirelli est alors l’un des rares films à succès à présenter la foi sous un jour entièrement positif. Les années 1980 et 1990 voient le «retour du religieux» avec une oraison de lms historiques (Le Nom de la Rose) ou biographiques (Hiver 54: l’abbé Pierre). On retrouve la joie d’être croyants (Sister Act). Certains de ces chefs-d’œuvre sont réalisés par des agnostiques comme Thérèse d’Alain Cavalier ou Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois. Le cinéma actuel est fait de contrastes et de paradoxes. Ainsi, dans Les Innocentes d’Anne Fontaine, ce sont les non-croyants qui portent le mieux les valeurs chrétiennes; la figure du don de soi n’est pas la mère supérieure du couvent polonais, mais une jeune médecin juive et communiste. Ce cinéma nous bouscule en interrogeant aussi bien les croyants que les non-croyants.

Les songes: un cinéma intérieur

Par François-Xavier Amherdt
Photo: Dr

bible-et-cinemaDifficile, évidemment, de «dénicher» dans les Ecritures des allusions anticipatrices du septième art. Sinon, peut-être, à travers le «cinéma intérieur» que se font certains personnages, réalité subconsciente des rêves qui n’a pas d’âge. Et à travers laquelle, en fait, Dieu nous parle souvent, si nous savons y être attentifs, en faire mémoire et les interpréter. Un grand spirituel d’aujourd’hui comme le moine bénédictin Anselm Grün nous invite d’ailleurs à le faire et nous donne des clés pour les décoder: le Seigneur travaille toutes les dimensions de notre être, y compris et surtout les plus profondes, notre cœur, notre âme, nos émotions, nos intuitions, notre conscience et notre inconscient.

La lecture continue « Les songes: un cinéma intérieur »

Dieu sur écran

De Ben-Hur aux Innocentes, en passant par Le Nom de la Rose ou Des hommes et des dieux, le cinéma interpelle régulièrement les croyants et les non-croyants.PAR DOMINIQUE-ANNE PUENZIEUX
AVEC FRANÇOIS-XAVIER AMHERDT ET PASCAL BOVET PHOTOS : DRDe tous temps, les chrétiens ont utilisé les moyens de communication à leur disposition pour transmettre la Parole et la foi au plus grand nombre. Et parmi ces moyens, on trouve tout naturellement le cinéma. D’ailleurs, tous les grands festivals l’ont compris en distribuant des prix œcuméniques, comme à Cannes ou à Berlin, aux films qui défendent des valeurs humaines et spirituelles. Car au-delà du pur divertissement le cinéma peut donner à réfléchir, à méditer.

En Suisse romande, la revue Ciné-Feuilles annonce chaque semaine les principales sorties et commente les passages à la télévision des films importants, à la lumière chrétienne. Plusieurs initiatives romandes font la part belle au septième art dans nos diocèses, unités pastorales ou paroisses. Ainsi, l’Eglise catholique de Genève organise «Il est une foi, les rendez-vous cinéma», durant un week-end au printemps. L’occasion de sortir l’Eglise de ses murs et d’interroger des personnages historiques sur leur relation à la foi, à travers la sélection de films choisis. Le message évangélique s’inscrit en effet dans la vie d’aujourd’hui.

Pas de cinéma de patronage!

A Châtel-Saint-Denis, l’abbé Petru Popa organise la manifestation pastorale «Cinécure» depuis quatre ans. L’occasion ici de réunir des paroissiens et de visionner avec eux un lm, présenté par une personnalité, ecclésiale ou non, puis d’échanger. «L’idée n’est pas de choisir des films édifiants ou à thématique strictement religieuse – il ne s’agit pas de cinéma de patronage! – mais de présenter de bons films qui permettent ensuite de débattre d’un sujet qui a trait à la spiritualité ou à la religion. Par exemple Million Dollar Baby, chef-d’œuvre de Clint Eastwood, permet d’aborder le thème de l’euthanasie», explique l’abbé. La lecture continue « Dieu sur écran »

Voir Dieu?

Par Pascal BovetLa grande Thérèse d’Avila, encore enfant, a fugué avec son grand frère sous prétexte de voir Dieu. «Je veux voir Dieu et pour voir Dieu il faut mourir.» Dans sa grande expérience spirituelle, elle trouvera Dieu au fond de sa demeure intérieure, son âme. Mais a-t-elle «vu» Dieu?

Saint Thomas d’Aquin cherchait plus à connaître qui est Dieu: en conjuguant sa foi et sa raison, il a approché du but.

Saint Anselme de Cantorbéry voulait comprendre pourquoi Dieu s’est fait homme. Et à la fin de sa recherche il répond: pour nous sauver!

Or, dans les Ecritures, il ne revient pas à l’être humain de voir Dieu; personne ne l’a jamais vu, selon saint Paul.

Noël s’annonce: Dieu nous visite en nous livrant sa parfaite image, son Fils. Des invitations sont lancées : venez voir, bergers et rois de cette terre, puis allez redire ce que vous avez vécu. Et le chant que vous avec entendu, apprenez-le-nous, que nous puissions chanter aussi: Joie au ciel et paix sur la terre.

Plus que l’écran, au soir de Noël, Dieu crève notre nuit en se faisant Lumière du monde.

Soeur Marie-Lucile: la joie de transmettre

C’est une journée maussade et pluvieuse. La vallée du Rhône est couverte d’une masse de nuages gris qui masquent les sommets des montagnes. Cette journée va être illuminée par un cadeau inattendu: ma rencontre avec Sœur Marie-Lucile, pétillante religieuse de la Sainte-Croix d’Ingenbohl.PROPOS RECUEILLIS PAR VÉRONIQUE BENZ
PHOTOS : BÉATRICE DESLARZES

Sœur Marie-Lucile me reçoit à Sierre dans l’appartement qu’elle partage avec deux de ses consœurs. Je découvre une religieuse au regard vif, au sourire lumineux, et qui malgré les ans a gardé une âme d’enfant. Le temps de l’interview, elle m’ouvre les portes de son royaume: une grande pièce qui lui sert à la fois de chambre, de bureau et de salle de cours. En y entrant, j’ai l’impression de découvrir la caverne d’Ali Baba. D’innombrables dessins et bricolages ornent les murs et les fenêtres. Sur les bibliothèques sont entassés des livres, du matériel d’enseignement, des jeux pédagogiques et des tables de calcul. Sur son bureau sont déposés pêle-mêle des boîtes, des cailloux, des coquillages… chacun de ces objets évoque un souvenir. Des souvenirs, Sœur Marie-Lucile en a à revendre. Les anecdotes fusent, parfois une date ou un nom lui échappent. «Les années sont là même si j’ai l’impression d’être toujours une jeune enseignante.» Marie-Laure (de son nom de baptême) est l’aînée de cinq filles. «J’ai eu la chance d’avoir des parents très ouverts et attentifs. Après ma première communion, j’ai eu une otite qui a duré un mois. Pendant que j’étais malade, mon papa a eu l’idée de construire une grotte de Lourdes dans le jardin. Il disait: lorsque Marie-Laure sera guérie, la grotte sera finie. Le premier jour où j’ai pu sortir, maman m’a effectivement montré la grotte.» Sa vocation, Sœur Marie-Lucile l’a ressentie à l’âge de 10 ans, à la cathédrale de Sion. «Par la suite, cet appel a été confirmé. Cet enthousiasme à suivre le Christ ne m’a plus quittée.»

Elle évoque ses études en sciences économiques et sociales à l’Université de Fribourg et les années d’enseignement qui ont suivi. «J’ai enseigné la comptabilité, l’arithmétique commerciale, le droit, l’économie politique et les mathématiques. Les maths modernes, c’était fantastique !» Elle parle de ses anciennes élèves avec beaucoup d’affection. Plusieurs d’entre elles viennent aujourd’hui lui con er leurs enfants pour des cours d’appui. Une quinzaine de jeunes bénéficient encore de son charisme d’enseignante.

Comme enseignante, quelle est la plus grande leçon que vous avez essayé de transmettre à vos élèves ?

«Le respect des autres, à l’exemple du Christ. Il y avait deux écoles de commerce à Sierre, celle des filles et celle des garçons. On nous a demandé de les fusionner en une seule. C’est celle des garçons qui est restée, mais dans notre école des Buissonnets, nous avons mis en place un enseignement basé sur la méthode Montessori.» Elle se souvient des élèves qui arrivaient à l’école le regard triste. «Quelques semaines chez nous et ils se remettaient à sourire et à revivre. J’ai apprécié cette méthode d’apprentissage qui respectait le rythme des élèves. C’était presque une école de rêve.» Sœur Marie-Lucile se rappelle avoir eu comme élèves des futurs séminaristes. «Les jeunes qui n’avaient pas fait le collège étudiaient une année ou deux chez nous avant de rentrer au séminaire.»

Comment une religieuse âgée peut-elle encore être utile?

«Elle ne sert à plus rien», me répond-elle du tac au tac. Puis elle se met à rire et continue de manière plus sérieuse: «Toute personne est utile par la prière et l’offrande même dans la maladie et la souffrance.» Sœur Marie- Lucile est remplie d’énergie. Ce qui la motive: «Le Seigneur, depuis le jour où j’ai ressenti son appel.» Se laisser aimer par Dieu et aimer les personnes, voilà tout le leitmotiv de la vie de Sœur Marie-Lucile. «Depuis que je vis à Sierre, j’ai connu sept curés. Chacun d’eux a eu le souci de nous révéler l’amour de Dieu. Je n’ai jamais été brimée par un prêtre, mis à part celui qui m’a imposé de faire les 30 jours de retraite selon saint Ignace. Mais finalement ces 30 jours ont été un vrai cadeau.»

Si un jeune me demandait comment être catholique en 2016, que lui répondriez-vous?

«Lorsque je rencontre un jeune, j’essaie de cheminer avec lui dans le respect de son projet. Je suis attentive à ce qu’il vit et j’essaie de l’encourager. Je lui conseillerais de s’attacher au Christ, de mettre le Christ au centre de sa vie et ainsi de découvrir l’amour de Dieu.»

Le sourire qui illumine son visage me prouve que c’est ce que Sœur Marie-Lucile a fait ! Et c’est bien là le plus beau cadeau qui nous est offert à Noël  l’amour de Dieu qui s’est incarné dans un enfant!

Bibliographie

Soeur Marie-Lucile Micheloud
Soeur Marie-Lucile Micheloud

Sœur Marie-Lucile est née 
à Sion en 1936, mais est originaire d’Hérémence. Après une maturité commerciale chez les sœurs Ursulines à Sion, elle travaille presque deux ans dans une banque avant d’entrer chez les Sœurs de la Sainte-Croix d’Ingenbohl. Elle étudie trois ans à l’école normale du Sacré-Cœur à Estavayer-le-Lac, puis enseigne une année à Vuadens et trois ans à l’école primaire à Sierre. Elle étudie
les sciences économiques
et sociales à l’Université de Fribourg afin de pouvoir ensuite enseigner à l’école de commerce Les Buissonnets
 à Sierre. Elle quittera cette école en 2002. Jusqu’en 2016 elle est très active dans la paroisse de Sierre notamment au secrétariat et à la rédaction du journal paroissial. Aujourd’hui elle continue
de donner des cours d’appui
à des jeunes et à des enfants.

«Que l’Eglise sorte dans la rue!»

«Que l’on fasse du bruit, que l’on sorte dans la rue, que l’Eglise soit dans la rue !» En Suisse romande, ils ne sont qu’une poignée d’hommes et de femmes d’Eglise affectés à la pastorale de la rue, et qui trouvent dans les paroles du pape François une motivation supplémentaire à leur présence auprès des jeunes et des marginaux de la société. Rencontre avec deux «anciens» de cette pastorale spécialisée.

Familles, je vous aime !

Alors que des enquêtes révèlent au grand jour des bouleversements dans le modèle familial et matrimonial classique, et qu’un Synode des évêques extraordinaire va être consacré, à l’automne, aux défis pastoraux de la famille, des questions se posent: la famille est-elle en crise ? Des choix pastoraux nouveaux pour des familles et des personnes blessées sont-ils envisageables? Tentative de réponse!

Un Carême éthiquable

Ethique et équité sont les deux maîtres mots de la Campagne oecuménique de Carême qui bat son plein actuellement. L’une des réflexions très intéressantes qui nous est proposée concerne l’industrie textile. Et si, en achetant ma nouvelle paire de jeans, je pouvais changer le monde ?

Que faire de son dimanche?

Du latin Dies dominicus, le dimanche est «jour du Seigneur» pour les chrétiens, mais aussi, pour beaucoup, jour de congé permettant détente et activités, journée de tâches ménagères, voire de repos après les sorties nocturnes… «Ce n’est pas tous les jours dimanch », dit le dicton. Alors autant le réussir.

Le sacrement des malades

Le sacrement de l’Onction des malades est donné à tous ceux qui, atteints dans leur santé par la maladie ou la vieillesse le demandent. Il s’adresse à tout croyant confronté à l’épreuve d’une maladie grave, à la proximité d’une intervention chirurgicale risquée ou à l’expérience de la vieillesse quand les forces et l’autonomie diminuent, à tous ceux qui traversent une étape marquée par une plus grande fragilité physique ou morale. Par le sacrement des malades, le chrétien reçoit la force de supporter son épreuve et l’assurance qu’il la vit en proximité avec le Christ.

Les Bibles

La Bible… ce Livre qui prend la poussière, parfois, sur nos étagères. Ce Livre que tout le monde a chez soi mais qu’on lit si peu! Ce Livre, le plus traduit et édité au monde, qui pourrait changer nos vies si nous daignions l’ouvrir plus souvent…

Nos aînés: des passeurs de la foi

«Dis, grand-papa, tu me racontes une histoire ? »
«Celle-là, elle est vraie, et c’est notre histoire. C’était, tu te souviens, l’année passée, le jour de la Fête-Dieu en Valais. Tes parents travaillaient; grand-maman et moi devions vous garder, toi et ta soeur. Après la procession de la Fête-Dieu et la messe à l’église, c’est l’heure du repas. Pour une fois, j’ai dit: d’accord pour le McDonald’s…

La pastorale de la santé

«La prise en compte de la dimension spirituelle des personnes hospitalisées fait partie de la mission des soins dans une perspective de prise en charge globale de la personne, reconnue dans une vision actuelle des soins en milieu hospitalier. Cette prise en compte concerne aussi les proches et les collaboratrices et collaborateurs des établissements. Les Eglises mettent à disposition des établissements hospitaliers et cliniques, des spécialistes pour cette prise en considération de la dimension spirituelle: ce sont les aumôniers.
Ces prêtres, pasteurs, diacres et laïcs engagés sont formés à l’écoute et à l’accompagnement. Ils offrent un soutien sans distinction de religion ni de confession, à moins d’une demande particulière de la personne intéressée. »

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