« Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui» (Mt 2, 2), dirent les mages en arrivant chez le roi Hérode le Grand. Or, s’ils ont vu l’étoile c’est parce qu’ils se sont mis en quête active du moindre signe dans le ciel qu’ils avaient l’habitude de scruter.
La prière la plus courte de la chrétienté: Jésus
Le nom de Jésus a une origine divine, puisque c’est l’archange Gabriel qui a donné à Marie le nom qu’elle devait donner à Jésus.
Santa Maria Maggiore : l’église mère de Monthey
On est toujours le fils de quelqu’un. Vrai pour les hommes et les femmes de tous les temps. Vrai aussi pour les églises.
2 et 3 décembre 2023: deux nuits illuminées à Muraz
Le village de Muraz a connu une animation nocturne particulière au cours du samedi soir 2 décembre et du dimanche soir 3 décembre 2023.
«Mon aîné voulait devenir pape»
A travers cette nouvelle rubrique, partons à la rencontre des femmes et des hommes laïques engagés dans les diverses paroisses de Suisse romande. Fabienne Bingler, secrétaire/comptable de la paroisse francophone du Sacré-Cœur de Bâle, ouvre le chemin.
Par Nicolas Maury | Photo : DR

Quand on lui demande quelle est sa fonction, Fabienne Bingler répond du tac au tac : « Je ne fais pas seulement le secrétariat et la compta, mais m’occupe de plein de choses : l’ouverture de l’église, le rangement de la sacristie. Même la Putzfrau ! » Pour preuve, à l’heure de l’interview, elle bataille avec un chauffage récalcitrant…
L’emploi de la langue de Goethe ne doit rien au hasard. Son employeur est la Paroisse française du Sacré-Cœur de Bâle, qui compte près de 400 fidèles et trouve son origine dans l’exode de population de 1871 : « Souvent, des jeunes venus à Bâle pour échapper à l’enrôlement dans l’armée prussienne. Il y avait aussi des cheminots alsaciens, ainsi que des Jurassiens et des Valaisans voulant un enseignement religieux dans leur langue. »
Parfaitement bilingue, Fabienne se rappelle très bien la manière dont elle a été embauchée. « C’était deux ans après la naissance de mon premier garçon. Je cherchais un job et j’ai postulé. Etre catholique était un prérequis. Mais ce qui a fait la différence c’est ma souplesse professionnelle. »
Avouant volontiers être croyante, son métier est, pour elle, un reflet de sa foi en Dieu. « J’ai essayé de la transmettre à mes enfants. Ma mère et moi leur apprenions à prier. Comme je travaillais pour la paroisse, nous allions peut-être un peu plus souvent à la messe que les autres. A l’époque, mon aîné voulait devenir pape. A l’école, quand il dessinait, il mettait des croix partout. Quand la maitresse lui a demandé pourquoi, il a expliqué que c’est parce que je travaillais dans une église. »
La Française d’origine ne dément pas avoir un caractère bien trempé. « Il faut parfois avoir de la patience avec les paroissiens qui pensent que, vu que nous travaillons pour l’Eglise, nous devons être là en permanence. Mon mari n’est pas ravi quand, le dimanche matin, nous sommes dérangés par un téléphone impromptu. Mais j’essaye d’être de bonne humeur et de montrer mes bons côtés. Même mon curé en est souvent étonné (rire) ! »
Fabienne Bingler, 55 ans, secrétaire et aide-comptable depuis mars 2006 à la paroisse française du Sacré-Cœur de Bâle. Maman de deux garçons de 19 et 13 ans.
Retrouvez l’ensemble des textes et des vidéos de la rubrique sur le site : https://presse.saint-augustin.ch/ecclesioscope/
La Remise des clefs, mosaïque de Gino Severini, église Saint-Pierre, Fribourg

Par Amandine Beffa | Photo : Jean-Claude Gadmer
Dans le chœur de l’église Saint-Pierre, à Fribourg, se trouve une mosaïque de Gino Severini.
Au centre, le Christ remet les clefs du Royaume des cieux à saint Pierre. Dans l’Evangile, le Christ dit : « Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise ; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle. Je te donnerai les clés du royaume des Cieux : tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux. » (Matthieu 16, 18-19)
Tout autour, sont représentés des symboles représentant les évangélistes. L’homme ailé pour Matthieu, le lion pour saint Marc, le bœuf pour saint Luc et l’aigle pour saint Jean. Au sommet, se trouvent le trône et la tiare évoquant la papauté. Le phylactère indique : « Tu es Petrus », soit « Tu es Pierre ».
La scène en bas à gauche ne semble pas faire partie de la vie de Simon-Pierre. Ce miracle de l’eau jaillissant du rocher évoque plutôt l’Exode et Moïse.
Pour quelle raison Gino Severini a-t-il choisi cet épisode ? En l’absence d’explications de l’artiste, nous ne savons pas avec précision ce qu’il a voulu nous dire de Pierre. Nous pouvons toutefois tenter une interprétation, bien sûr personnelle.
En bas à droite, des hommes tirent un filet. Cela peut évoquer la pêche miraculeuse. Les disciples qui n’avaient rien pris de toute la nuit lancent à nouveau leurs filets à l’invitation de Jésus et le poisson surabonde.
Les deux miracles se répondent : l’un évoque le Seigneur présent au milieu du peuple qui donne l’eau pour étancher la soif ; l’autre figure Jésus, l’Emmanuel – Dieu parmi nous – qui nourrit. Aujourd’hui, Dieu est aussi présent par sa Parole (que rappellent les symboles des évangélistes).
Pierre est appelé à mener à bien la mission reçue du Christ, comme Moïse qui a guidé le peuple vers la liberté, comme Jésus qui accompagne les disciples vers leur appel spécifique (devenir pêcheurs d’hommes).
Venons à l’Enfant-Jésus!
Ces trois premières semaines du mois de décembre coïncident avec le temps de l’Avent qui nous prédispose à fêter Noël.
L’Eglise blessée et souffrante ne renonce pas à sa belle mission
Je suis choqué par les découvertes des abus sexuels au sein de l’Eglise. Plein de tristesse, je n’ose imaginer la souffrance, la vie brisée des victimes et particulièrement des enfants.
Dénonciation et punition sont indispensables, ainsi que la lutte préventive contre les abus et leurs causes pour empêcher de nouvelles victimes.
L’engagement par le scoutisme
Des jeunes de divers cantons romands profitent de cet espace de liberté pour évoquer un sujet qui les intéresse. Rencontre avec le Valaisan Baptiste Clerc.

Par Baptiste Clerc | Photo : DR
Cela fait déjà bien des années que le scoutisme a été fondé, mais le nombre de scouts dans le monde ne cesse de croître. Le secret ? Proposer des activités en plein air, mais aussi grandir dans la foi, prendre des responsabilités et se débrouiller face à la nature.
J’ai commencé le scoutisme à l’âge de huit ans, au sein du grand mouvement des Scouts d’Europe. Cette association est présente dans une vingtaine de pays et est reliée à l’Eglise catholique.
J’ai commencé mon chemin aux louveteaux, avec la toute première sizaine du Valais. Les louveteaux sont dans l’imaginaire du livre de la jungle. Puis, à l’âge de 11 ans, je suis monté chez les éclaireurs, dans la patrouille de la Mouette. Entouré de jeunes entre 12 et 17 ans, j’ai appris à écouter et à recevoir les conseils des autres pour pouvoir progresser.
Quelques mois après mon entrée, j’ai été invité à prononcer ma promesse. J’ai pu ensuite placer sur mon chapeau ma croix scoute. Nous la portons tous comme le Christ qui a aussi porté sa croix.
Après plusieurs années d’apprentissage, de rire, de constructions, de rassemblements, de jeux… j’ai succédé à mon ancien chef et j’ai accepté de prendre la tête de la patrouille pour la faire vivre et grandir toujours plus sous l’exemple et le chemin de mes prédécesseurs.
En étant chef et gardien d’une patrouille, on peut rencontrer quelques difficultés. Durant une grande marche, je méditais sur un texte de Baden Powell qui disait : « Le sel est âcre quand on le goûte à part ; mais c’est le parfait assaisonnement qui donne aux mets toute leur saveur. Ainsi, les difficultés sont-elles le sel de la vie. »
Pour chaque épreuve, problème, obstacle à passer, je me rappelle cette citation qui nous montre que pour grandir, il nous faut ce sel de vie, ces difficultés.
Oui, le scoutisme, c’est savoir sortir du confort, de la routine, mais surtout pouvoir se décharger des soucis de la ville, de grandir avec ses frères et d’établir le règne du Christ dans le monde qui nous entoure.
Jeunes bénévoles : des adolescents qui s’engagent en Eglise
Agés de 13 et 14 ans, Mathilde Buisson, Rosanna Micale, Rafaëla Pinto Martins et Timeo Rime se sont lancés dans la formation des Jeunes Bénévoles (JB, à prononcer à l’anglaise JiBi) organisée chaque automne par le Service Diocésain de la Jeunesse. De retour de ce week-end, ils répondent à nos questions.
L’avenir des églises de Montbrelloz sera examiné
Une soixantaine de membres de la paroisse Saint-Laurent Estavayer ont participé le 11 octobre à Montet à une
assemblée paroissiale extraordinaire, démarche obligatoire au début de chaque nouvelle législature. L’ordre du jour était léger. L’assemblée a notamment pris la décision
de se pencher sur l’avenir des deux églises de Montbrelloz.
L’énergie

Par Pierre Guillemin | Photo : DR
L’énergie désigne « la capacité à effectuer des transformations ». Toute action requiert de l’énergie : le fait de se déplacer, de se chauffer, de fabriquer des objets et même de vivre. L’énergie est là, dans notre quotidien. Mais qu’est-ce que l’énergie ?
L’énergie, en physique, est une propriété fondamentale de l’univers. Elle est définie comme l’aptitude ou la capacité à effectuer un travail ou à produire un changement dans un système. L’énergie se présente sous différentes formes et constitue un concept clé pour comprendre le comportement du monde physique. La chose la plus importante
à savoir sur l’énergie est la loi de conservation de l’énergie, qui stipule que l’énergie ne peut être ni créée ni détruite. C’est-à-dire que l’énergie totale d’un système fermé reste constante ; en d’autres termes, l’énergie ne peut ni disparaître ni naître et ne peut que passer d’une forme à une autre. Ce principe est l’un des concepts fondamentaux
de la physique.
Par exemple, lorsque nous soulevons un objet, nous transférons l’énergie de nos muscles à l’objet que nous manipulons.
Schématiquement, l’énergie apparaît sous les formes suivantes :
• l’énergie thermique, qui génère de la chaleur ;
• l’énergie électrique ou électro magnétique, qui fait circuler les particules – électrons – dans les fils électriques ;
• l’énergie mécanique, qui permet de déplacer des objets ;
• l’énergie chimique, qui lie les atomes dans les molécules ;
• l’énergie de rayonnement ou lumineuse, qui génère de la lumière ;
• l’énergie musculaire qui fait bouger les muscles.
Selon les dernières estimations des scientifiques, le début de la maîtrise des sources d’énergie par l’Homme remonte à 400’000 ans av. J-C. A l’époque, l’Homme apprend à maîtriser le feu (énergie thermique). Puis, plus tard, il démultiplie sa force en utilisant l’énergie fournie par des matériaux sous-tension (arc), il apprend à maîtriser le vent, l’eau conduisant à la création de moulins. Avec l’ère industrielle, l’Homme commence à exploiter des ressources fossiles (charbon, puis pétrole et gaz) et à développer des machines qui vont lui permettre de produire davantage et de meilleure qualité.
Mais puisque nous avons besoin de tant d’énergie pour accomplir nos tâches quotidiennes, n’oublions pas les mots de saint Paul aux Ephésiens : « Puisez votre énergie dans le Seigneur et dans la vigueur de sa force. »
Deux nouveaux chevaliers de Saint-André
Lors de la messe de la patronale de la Saint-André, le dimanche 26 novembre, deux paroissiens ont été élevés au rang de « chevaliers de Saint-André » en raison de leur engagement au service de la
communauté paroissiale de Muraz. Il s’agit de Simone Genolet et Bernard Fournier. Petite présentation.
Cugy: un nouvel élan pour la Confrérie Saint Eloi
Les membres de la Confrérie Saint Eloi de Cugy ont connu un jour de liesse en ce dimanche du 15 octobre puisqu’elle a marqué le centenaire de son drapeau en faisant bénir
une nouvelle bannière. Organisme qui date du Moyen-Age, cette confrérie s’est donné un nouveau gouverneur et remet sa devise – « Fais ce que dois » – à l’ordre du jour.
Saints par fidélité à «leur» pays
Début 2018, le diocèse d’Alger a engagé un processus de béatification englobant les 19 martyrs de la guerre civile algérienne, indissociables les uns des autres, en un signe de témoignage de foi commun. Le 8 décembre de cette même année, l’Algérie a célébré la première béatification en pays majoritairement musulman.
Par Myriam Bettens | Photo : cath.ch/Bernard Hallet
La décennie noire débute en 1991 en Algérie. Le gouvernement vient d’annuler les élections législatives durant lesquelles les résultats du Front islamique du salut (FIS) laissent clairement augurer une victoire et le risque de la mise en place d’une république islamique. Une guérilla islamiste émerge alors rapidement et dirige ses attaques contre les civils.
L’Eglise catholique algérienne n’est pas épargnée. Composée essentiellement de catholiques non autochtones, elle devient la cible de groupes terroristes. Même menacés, ces religieux ne souhaitent pas quitter le pays. Ils se sentent « Algériens » et refusent d’abandonner « leur » peuple. Entre 1994 et 1996, dix-neuf religieux, dont Mgr Claverie et les tragiquement célèbres moines de Tibhirine, paient de leur vie cet attachement indissoluble.
Signe riche de sens
Ils sont reconnus martyrs par le pape François le 26 janvier 2018, ce qui conduit à leur béatification le 8 décembre de la même année en la chapelle de Santa Cruz à Oran. Le lieu de cette célébration n’a pas été laissé au hasard. Pierre Claverie, alors évêque d’Oran, a été tué dans la nuit du 1er août 1996 par une bombe placée contre la porte de l’évêché. Son chauffeur, un jeune musulman de Sidi Bel Abbès, Mohamed Bouchikhi, était allé le chercher à l’aéroport cette nuit-là. Les deux hommes sont morts ensemble. « Ce signe du sang mêlé est riche de sens et le choix de la ville d’Oran est là pour le signifier », révélait l’évêque d’Oran en poste en 2018 au quotidien El Watan.
Cette béatification, en terres majoritairement musulmanes, aurait pu être perçue comme la mise en avant par l’Eglise de « ses » martyrs au détriment des nombreuses autres victimes. Or l’accueil a été très positif, autant par la presse que par les autorités civiles et religieuses algériennes. Le matin même, la Grande mosquée d’Oran avait rendu hommage aux bienheureux et aux cent quatorze imams qui se sont élevés contre le terrorisme, en un témoignage de communion interreligieuse.
Patronale à Monthey: messe prêchée par le chanoine Simone Previte
Le 8 décembre, l’Eglise fête l’Immaculée Conception. Pour la paroisse de Monthey, c’est la Patronale et selon la tradition locale, en ce jour de Solennité, on invite un prédicateur, souvent un chanoine de l’abbaye de Saint-Maurice.
Lully: le chœur mixte a fêté ses 80 ans
Le chœur mixte de Lully a fêté début octobre les 80 ans de son existence. Une journée de réjouissances pour marquer cet anniversaire fêté par les 22 chanteuses et chanteurs et la communauté paroissiale.
En librairie – décembre 2023
Par Calixte Dubosson et la librairie Saint-Augustin
Des livres

Paul de Tarse
Daniel Marguerat
Célèbre parmi tous les apôtres, saint Paul est aussi le plus mal connu. On le dit colérique, doctrinaire, antiféministe, hostile au judaïsme. Après le message simple de Jésus, il serait venu tout compliquer avec une théorie obscure du péché… Mais qui a vraiment lu ses lettres ? Qui a deviné l’homme derrière les propos de Paul de Tarse ?
L’originalité du livre de Daniel Marguerat est d’immerger ses écrits dans la vie tumultueuse et passionnée de l’apôtre. Car derrière les textes de ce grand théologien, il y a un homme qui aime, qui lutte, qui peine et qui souffre. Un livre passionnant, qui fait découvrir un Paul peu connu. Sa pensée incandescente fait de lui, aujourd’hui encore, l’enfant terrible du christianisme.
Editions du Seuil

Les 12 inouïs de l’Evangile
François-Xavier Amherdt
A force d’entendre et de réentendre sans cesse les Saintes Ecritures, il se peut que leur puissance créatrice n’atteigne plus nos cœurs et nos consciences. Voici donc douze inouïs de l’Evangile, parmi tant d’autres, douze réalités que nous, croyants et baptisés, n’avons jamais vraiment vues et entendues, malgré les témoins, les saintes et saints au long de l’histoire de l’Eglise. Il s’agit de rendre compte avec douceur et respect, en toute bonne conscience, de l’espérance qui nous habite. Une démarche détonante, inédite, tissée des surprises et des clins d’œil que nous fait l’Esprit pour nous communiquer par heureuse contagion le virus de la joie de l’Evangile.
Editions Parole et Silence

Bien dans ses baskets
Joël Pralong
Qui d’entre nous n’a jamais expérimenté un vide existentiel ? En partant des problématiques qui touchent la jeunesse d’aujourd’hui (hyperactivité, burn-out, hyperémotivité, dépression liée au vide existentiel, angoisse de l’avenir, etc.), Joël Pralong aborde le sujet complexe du vide affectif qui engendre névrose, dépression, mésestime de soi. Face à ce constat, il donne surtout des pistes spirituelles qui rejoignent les problématiques évoquées à partir de ce qui leur est commun et creuse par lui-même un sujet peu traité. Un livre didactique émaillé de témoignages et d’images, qui s’adresse aussi bien aux jeunes qu’aux adultes.
Editions EdB

L’Evangile pour les enfants
Christine Ponsard et Jean-François Kieffer
Dieu, personne ne l’a jamais vu. Pourtant, depuis deux mille ans, retentit cette bonne nouvelle : Dieu s’est fait homme. Jésus qui est Dieu aime avec un cœur d’homme. Lire les évangiles, c’est connaître Jésus et apprendre à aimer comme Lui. Cette bande dessinée permettra à l’enfant de découvrir les plus grands épisodes de l’histoire de Jésus racontés par deux auteurs de talent : Christine Ponsard et Jean-François Kieffer (à partir de 6 ans).
Editions Mame
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Rome 2023
Nous étions quelque 130 pèlerins, issus principalement des paroisses de Monthey, Choëx, Collombey et Muraz, à nous être rendus à Rome en pèlerinage du 23 au 27 octobre.
Sévaz: moment fraternel chaque mardi
A Sévaz, nous avons la chance d’avoir une petite chapelle. L’avantage est que même si parfois il y a peu de monde, on ne se sent pas perdu. Une bonne ambiance règne entre les fidèles. Le mardi, la tradition de boire le café après la célébration est bien ancrée.
