Le centre de Montet des Mouvement des Focolari à Montet va fermer ses portes dans quelques semaines.
Astrophysique et religion
Jean 8, 23 : « Et il leur dit : vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut : vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. » Quel est ce monde dont nous parle le Christ ? Lorsque les scientifiques veulent comprendre l’Univers, se rapprochent-ils de ces mondes d’en bas et d’en haut ?
Par Pierre Guillemin | Photos : DR
Astrophysique et astronomie, quelle différence ?
L’astrophysique est une branche de l’astronomie. L’objectif est de comprendre les objets de l’Univers (étoiles, planètes, galaxies, composition de l’espace intersidéral) grâce à des moyens issus de la physique. Ainsi, des études portant sur le spectre lumineux ou électromagnétique, densité, composition chimique de ces mêmes objets célestes formeront les axes d’investigation des scientifiques.
L’astronomie est la science de l’observation des corps célestes : leurs mouvements, leurs origines, leurs états (naissance, vie, mort des étoiles par exemple) et aussi leurs propriétés physiques et chimiques incluant les résultats de l’astrophysique.

La plus ancienne des sciences
L’archéologie a montré que, déjà à l’âge de bronze, les premières civilisations observaient le ciel, repéraient certaines constellations, admettaient le cycle des saisons, identifiaient les équinoxes et les solstices.
Dès le IIIe siècle av. J.-C., Aristarque de Samos (310 av. J.-C. – 230 av. J.-C.) élabore la théorie héliocentrique de l’Univers (les planètes tournent autour du soleil) mais cette idée fut déclarée hérétique en contredisant la vision géocentrique (pensée d’Aristote) de l’Univers liée à la distinction entre une Terre centre du monde jugée imparfaite et un monde extérieur synonyme de perfection qui s’articule autour de notre planète.
La question de la forme de la Terre et donc des planètes par extrapolation est résolue dès l’Antiquité, même si le refus de l’évidence dura jusqu’à la fin du Moyen-Age. Rappelons que les voyages de Christophe Colomb, de Magellan à la fin du XVe et au début du XVIe siècle ont pour but de (re)démontrer que la Terre est une sphère (qui n’est d’ailleurs pas parfaite !). Il semblerait que Thalès de Milet (de -625 à -547) ait été le premier à s’être réellement posé la question de la forme de la Terre. Mauvaise pioche toutefois puisqu’il supposait une Terre en forme de disque plat sur une vaste étendue d’eau. C’est ensuite Pythagore (de -580 à -495) et Platon (de -428 à -348) qui lui (re)donnent une forme sphérique jugée plus rationnelle. Et enfin Aristote (de -384 à -322) qui en apporte quelques premières preuves observationnelles comme la forme arrondie de l’ombre de la Terre sur la Lune lors des éclipses. Un fait qui ne paraît alors pas réellement choquer son monde.
Il ne faudra d’ailleurs ensuite pas attendre bien longtemps avant qu’Eratosthène (de -276 à -194) n’en calcule la circonférence. Il avait remarqué qu’à midi, le jour du solstice d’été, il n’y avait aucune ombre du côté d’Assouan. En mesurant l’ombre d’un bâton planté à Alexandrie au même moment et en connaissant la distance qui sépare les deux cités, il déduit la circonférence de la Terre avec une précision assez étonnante : 39’375 kilomètres contre quelque 40’000 kilomètres pour les estimations actuelles.
Observer, étudier, comprendre
En cherchant à mieux décrire l’Univers, les astronomes et les astrophysiciens se sont souvent trouvés dans une situation difficile, vitale parfois, face à une vision religieuse de cet Univers. Cependant, l’Eglise n’a jamais fermé la porte à l’exploration scientifique bien au contraire : citons les travaux de Boèce (début du VIe siècle), de saint Bède le Vénérable (VIIIe) qui établit les règles scientifiques pour le calcul des dates des fêtes et le calcul du temps (calculs liés à l’observation de la course des planètes, la Lune en particulier) ou de Gerbert d’Aurillac (pape Sylvestre II). D’un point de vue philosophique, l’opposition de l’Eglise est davantage liée à son rôle au sein de l’humanité plutôt qu’à la négation systématique du fait scientifique. Certes, Copernic et Galilée sont les exemples les plus célèbres de cette contradiction entre l’observation objective de l’Univers et la croyance issue d’une lecture littérale des textes religieux. Mais, parallèlement, le pape Grégoire XIII crée en 1578 l’Observatoire du Vatican et en confie la gestion aux Jésuites astronomes et mathématiciens du Collège Romain avec pour premier objectif la réforme du calendrier qui aboutira en 1582 au calendrier grégorien à la suite des travaux de Christopher Clavius.
Mais l’observation ne suffit pas à élaborer une vision scientifique : il faut développer la ou les théories pour que l’observation ne soit plus considérée comme le résultat d’un hasard, mais comme le résultat de lois, de développements mathématiques et finalement obtenir une relation de cause à effet. C’est Isaac Newton qui, en formulant la loi de l’attraction des corps (la loi de la gravitation) associée à ses lois du mouvement, permet finalement de donner une explication théorique au mouvement des planètes.
Copernic Galilée Grégoire XIII Sylvestre II
Et maintenant ?
En étudiant l’Univers, plus les scientifiques avancent dans leurs recherches, leurs observations, leurs théories, plus de questions se posent. En particulier, comment pouvons-nous comprendre la naissance de l’Univers (si tant est qu’il y ait eu naissance) et son évolution ?
Parmi ces questions, celle de la matière noire occupe une place très importante dans les recherches modernes. En effet, dans le cadre de la théorie de la gravitation d’Einstein, un des paramètres fondamentaux est la matière, incluant la matière noire, qui jouerait un rôle essentiel dans la création des grandes structures (le squelette de l’Univers). Cette matière noire expliquerait pourquoi notre Univers se compose de galaxies, d’amas de galaxies, mais aussi de vides immenses. Mais, si on ne la détectait pas, il faudrait alors revoir la théorie de la gravitation d’Einstein. Pour comprendre le concept de matière noire, il faut la définir par rapport à la matière ordinaire et à l’antimatière :
• La matière ordinaire compose tout ce qui nous entoure, comme les atomes de notre corps, les étoiles ou les planètes. Selon ses propriétés, de charge électrique, de masse, et bien d’autres se rapportant à sa nature quantique, elle peut interagir avec les quatre interactions fondamentales (voir encadré).
• La matière noire est une matière hypothétique qui ressentirait la gravitation et n’interagirait que par interaction faible avec la matière ordinaire.
• L’antimatière : à chaque particule correspond une antiparticule. Leurs propriétés sont quasiment identiques. Une particule et son antiparticule ont la même masse, mais des charges électriques opposées.
La question qui se pose est de savoir quelle est la place de la Terre dans ce vaste champ d’investigation. Elle est unique puisque nous y vivons, mais est-elle unique parmi les autres planètes de l’Univers ? Comment s’exprime alors la volonté de Dieu, Créateur de l’Univers ?
Jean 8, 23 : « Vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. »

Les quatre interactions fondamentales
• La gravitation : gravité, pesanteur, système solaire, galaxie…
• L’interaction faible : processus radioactifs qui transforment un proton en neutron et réciproquement.
• L’interaction forte : force qui, entre autres, lie les protons et neutrons qui composent les noyaux des atomes.
• L’interaction électromagnétique: électricité, magnétisme, cohésion des atomes et des molécules.
Semaine sainte 2024 en images
Le Triduum pascal, c’est-à-dire les jours de la commémoration de la Passion et de la Résurrection du Christ sont toujours très intenses, des expériences fortes pour les grands et les petits, surtout lorsqu’on les vit « de l’intérieur »… Voici quelques images prises sur le vif prises par Marion Perraudin.
Saint Jean-Baptiste, patron du village de Montbrelloz
Saint Jean-Baptiste est, pour les chrétiens, le dernier des prophètes d’Israël. Il est celui qui annonce et qui prépare la venue du Christ, le Messie attendu pour la fin des temps.
«A voir l’ouvrage de tes doigts» (Psaume 8)

Par François-Xavier Amherdt | Photos : DR
Le Psaume 8, déposé par les astronautes américains lors de leur arrivée sur la Lune, est puissamment « cosmique ». Il chante à la fois l’immensité de l’Univers créé par Dieu, le ciel, la lune et les étoiles, les milliards de galaxies, face auxquelles l’être humain se sent tout petit. Celui-ci ne peut donc pas se prévaloir d’une quelconque « domination » absolue ni exercer une exploitation éhontée sur la création, puisque tout lui a été remis par le Créateur. Il n’en est que l’humble bénéficiaire. Le recours à des textes scripturaires – comme au chapitre premier de la Genèse – pour légitimer le « pouvoir » des hommes sur la création passe donc à côté des Ecritures saintes !
Grandeur de la personne
En même temps, le chant psalmique vante la grandeur de la personne humaine, clamée et illustrée par la bouche des tout-petits. Car le Seigneur la façonne à son image, il la couronne de gloire et de beauté, il lui confie l’œuvre de ses mains et de ses doigts. Chaque homme et femme est donc établi comme cocréateur et chargé de poursuivre le labeur divin jusqu’à la consommation des siècles et à l’accomplissement du Royaume.
En harmonie
La Trinité « se souvient » des mortels, elle vient visiter les filles d’Eve et les fils d’Adam, elle les modèle selon sa ressemblance. Elle leur remet les animaux de la terre, du ciel et de l’eau, pour qu’ils évoluent en harmonie tous ensemble. Ainsi, astrophysique et foi se conjuguent-elles pour essayer de saisir l’insaisissable. La première essaie d’approcher de manière scientifique le déploiement du cosmos sans percer les secrets de l’infiniment grand et petit. La seconde exprime grâce à la Révélation la signification ultime, telle qu’instaurée par celui qui ne cesse d’œuvrer à la poursuite de l’expansion de la création. Jusqu’à ce qu’adviennent la terre et les cieux nouveaux (Apocalypse 21, 1). Qu’advienne le dialogue et la conciliation entre science, raison et foi !
Un temps pour le repos
L’été, temps de repos et de vacances,
Prenons le temps des rencontres fraternelles,
Dans la simplicité d’un cœur qui sait aimer
Que notre vie devienne le jardin où fleurissent les fruits de la joie.
Pour l’offrir comme le pain de la joie.
Frédéric Fays: un papa habité d’une foi heureuse
Papa de trois enfants, Frédéric Fays est un homme croyant et pratiquant. Selon lui, les enfants ne nous appartiennent pas. C’est ainsi qu’il leur a toujours laissé le choix dans leur vie et leurs loisirs, tout en les conseillant, y compris en ce qui concerne la foi. « Si tu veux la liberté pour toi, dit-il, il faut la laisser aux autres ! »
«Le plus audacieux des vols!»

Par Thierry Schelling | Photo : Vatican media
Paul VI était devant sa TV ce lundi 21 juillet 1969 alors que le premier alunissage était retransmis en direct : « Honneur à vous, hommes qui êtes artisans de la grande entreprise spatiale ! Honneur à tous ceux qui ont rendu possible le plus audacieux des vols ! » Il recevra Armstrong, Aldrin et Collins quelques mois plus tard, admiratif, au Vatican.
Rencontre sur la Lune…
Plein d’enthousiasme, le Pape déclara : « L’homme, cette créature de Dieu, plus encore que la Lune mystérieuse, au centre de cette entreprise, se révèle. Il se révèle géant. Il se révèle divin, non en soi, mais dans son principe et son destin. Honneur à l’homme, honneur à sa dignité, à son esprit, à sa vie. » (Angélus du 13 juillet 1969)
Mais le Vatican observe les astres depuis le… XVIe siècle déjà ! Dans le cadre de la réforme du calendrier, le pape Grégoire XIII fait installer un observatoire dans les Jardins du Vatican, y invitant astrologues et scientifiques au cours des quatre prochains siècles, pour y étudier le firmament…
Atterrissage à Castel Gandolfo
La pollution et la sur-illumination de la Ville de Rome, en pleine expansion au cours du XXe siècle empêchent la netteté des travaux… et obligent au déménagement dans la résidence d’été du Pape, sur les hauteurs du Lac Albano et en campagne. Depuis lors, des Jésuites – comme à ses débuts – entretiennent l’ouvrage de découverte des cieux et, à l’invitation du pape François en 2023, ouvrent leurs portes pour des visites guidées des lieux et de leurs recherches… De quoi voyager dans la lune au frais du Saint-Siège !
Nous voici à l’été!
Nous voici rendus au mois de juin, et bientôt l’année scolaire touche à son terme, alors que les fêtes après Pâques (Pentecôte, Fête-Dieu) sont derrière nous et que les grandes vacances d’été se profilent.
Reflets illustrés du Triduum pascal à la collégiale
En images, quelques reflets des célébrations du Triduum pascal, le Jeudi saint, le Vendredi saint et le Samedi saint.
Ne pas avoir peur du savoir
Chaque mois, L’Essentiel propose à un ou une représentant(e) d’un diocèse suisse de s’exprimer sur un sujet de son choix. Mgr Charles Morerod, évêque du diocèse de LGF, est l’auteur de cette carte blanche.

Par Mgr Charles Morerod, évêque du diocèse de LGF
Photos : cath.ch, DR
Grâce au progrès scientifique très rapide des derniers siècles, nous connaissons de mieux en mieux l’Univers, y compris nous-mêmes. Dans ce numéro, on parle d’astrophysique : elle nous permet non seulement de mieux connaître les étoiles et galaxies que l’on voyait depuis longtemps, mais aussi par exemple les trous noirs. Nous prenons conscience de notre extrême petitesse, sans d’ailleurs en tirer une grande modestie collective.
Il n’est pas toujours facile pour les croyants de mettre ces connaissances scientifiques en lien avec leur foi. Certes ils sont généralement heureux des progrès de la médecine, mais l’histoire du monde, de la vie, l’évolution demande un sérieux approfondissement de notre lecture des textes bibliques. Ce que la psychologie nous apprend de nous-mêmes requiert un effort identique dans le domaine moral.
Ce qui nous guide, c’est notre foi en un Dieu bon et créateur. C’est lui qui a fait cet Univers que nous découvrons, c’est aussi lui qui nous donne la capacité et la joie d’y comprendre quelque chose. Avoir peur du savoir, c’est douter des dons que Dieu nous fait.
Je reste marqué par ce qu’une mère m’a dit de sa fille, qui avait alors 8 ans. Le neveu de la femme en question était venu passer le week-end et la famille avait emmené à la messe ce garçon de 10 ans. A la sortie de la messe, le neveu dit : « Moi, je n’ai pas besoin d’aller à l’église, parce que je suis Dieu ! » Et sa cousine de lui répondre du tac au tac : « Regarde ces montagnes, c’est toi qui les as faites ? » Je vois dans cette géniale réplique comme un écho du Psaume 8 : « Ô Seigneur, notre Dieu, qu’il est grand ton nom par toute la terre ! Jusqu’aux cieux, ta splendeur est chantée par la bouche des enfants, des tout-petits : rempart que tu opposes à l’adversaire, où l’ennemi se brise en sa révolte. A voir ton ciel, ouvrage de tes doigts, la lune et les étoiles que tu fixas, qu’est-ce que l’homme pour que tu penses à lui, le fils d’un homme, que tu en prennes souci ? »
Les Sœurs de Saint-Joseph à Monthey
Les Sœurs de Saint-Joseph sont sur leur départ. En raison de leur âge, du manque de relève et de circonstances imprévues, le Conseil Général de la Congrégation des Sœurs de Saint-Joseph d’Annecy a pris la décision de fermer la dernière maison à Monthey en été 2024. Retour sur leur présence, à Monthey et dans le Chablais depuis 1878, avec Sœur Claude.
La Bible au quotidien : la première lettre de Jean
« Celui qui n’aime pas n’a pas découvert Dieu, puisque Dieu est amour. » (1 Jn 4, 8)
La première lettre de Jean s’adresse aux chrétiens d’une communauté d’Asie mineure pour les encourager à rétablir la communion entre eux car ils sont divisés par des doctrines différentes.
Jeux, jeunes et humour – juin 2024
Par Marie-Claude Follonier
Question jeune
Pourquoi avant la proclamation de l’Evangile traçons-nous trois croix ? *
En traçant une croix avec notre pouce sur le front, la bouche et le cœur, nous demandons au Seigneur que sa Parole vienne toucher notre intelligence, qu’il nous donne la force de la répandre à notre tour et de la conserver au plus profond de nous à l’instar de Marie qui « gardait dans son cœur tous ces événements » (Lc 2, 51).
Par Pascal Ortelli
* Nous vous proposons cette année de décrypter la messe, en lien avec le livre de Pascal Desthieux : Au cœur de la messe. Tout savoir sur la célébration, illustrations Hélène VDB, Editions Saint-Augustin.
Humour
M. le Curé avait lancé un appel : il cherchait un tronc d’arbre pour faire sculpter la statue d’un saint. Une paysanne avait dit à son mari : « Il n’y a qu’à lui donner notre noyer, il n’a jamais donné aucune noix. » Quelque temps plus tard, alors que la statue du saint trônait fièrement dans l’église, la paysanne vint prier le saint pour lui demander de guérir sa vache malade. Malheureusement, au lieu de guérir, la vache finit par crever. Levant la tête vers la statue du saint, elle lui dit : « Tu ne valais rien en noyer, tu ne vaux pas mieux en saint ! »
Par Calixte Dubosson
Bien plus qu’une remise c’est un envoi!
Le dimanche 14 avril 2024 a eu lieu la remise des diplômes Jeunes Bénévoles 3 (JB3), volée 2. Parmi les diplômés, trois ont mené leur projet dans nos paroisses. Sébastien Gauye, JB3 diplômé en 2022, a assisté à la remise de diplôme. Il nous partage son regard sur les nouveaux lauréats.
L’eucharistie: sacrifice et repas, source et sommet
Il y a quelque temps, j’ai vu dans un journal une illustration représentant la Cène – dernier repas de Jésus avec ses disciples. Il s’agissait précisément de l’œuvre de Leonardo da Vinci (1452-1519).
La médaille de sainte Rita
En ce mois de Marie
Le mois de mai est traditionnellement appelé aussi le « Mois de Marie ». En ce mois de mai, les fleurs s’épanouissent et rivalisent de couleurs chatoyantes, en diffusant leurs parfums subtils et odoriférants. Marie n’est-elle pas comparée justement à la « reine des fleurs », à une rose (« Rose mystique » dans les litanies) dont la beauté spirituelle avec ses vertus cultivées à l’excellence, a ravi le cœur de Dieu ?
En librairie – mai 2024
Par Calixte Dubosson et la librairie Saint-Augustin
Des livres

Le deuil invisible
Jessica Brazeau
Le deuil d’un enfant à naître est très complexe à vivre. En effet, comment faire le deuil d’un être que l’on a peu connu, voire pas du tout ? Comment traverser cette expérience douloureuse, en tant que mère ou père, alors que l’entourage peut avoir tendance à la dédramatiser, à la sous-estimer ? Coécrit par la psychologue Lory Zephyr et la journaliste Jessika Brazeau, cet ouvrage rassemble une foule d’informations et de ressources précieuses, des réflexions ainsi que plusieurs témoignages touchants pour aider les mamans et les papas à ne plus se sentir seuls dans cette épreuve. Un livre tout en douceur pour soutenir les peines et guider pas à pas toutes les familles sur le chemin de l’acceptation.
Editions de l’Homme

Des vies transformées
Père Geoffroy de Lestrange
Qui aurait pu imaginer que le chanteur Vianney logerait avec des sans-abri ? Ce livre raconte comment l’appel du Christ a bouleversé la vie d’une vingtaine de témoins ou de saints. Curieux comme Djibril Cissé, décomplexé comme Gad Elmaleh ou tout simplement chrétiens engagés, ils ont été touchés intérieurement, ont vécu un réveil dans la foi ou ont dépassé leurs préjugés sur l’Eglise. Chaque lecteur pourra, à la suite de ces témoins, se laisser inspirer et bousculer par l’expérience concrète du salut que Dieu apporte dans les moments de découragement, de doute, de difficulté ou de tiédeur. Un ouvrage qui renouvelle notre foi.
Editions Pierre Téqui

Journal intime de la Vierge Marie
Sophie Chauveau
La jeune Marie apprend qu’elle attend un enfant. Pendant huit mois, elle tient un journal dans lequel elle note scrupuleusement les émotions et les sensations qui l’agitent avant cette naissance si particulière. Ses questionnements, ses rêves et ses peurs sont semblables à ceux que partagent nombre de futures mères. A travers un récit dominé par la joie, Sophie Chauveau donne à voir une Marie forte et instruite et nous dévoile, au-delà du mythe, des aspects méconnus de l’histoire qui changera la face du monde
Editions Folio

Pier Giorgio Frassati
M. & O. Malcurat – Marco Greselin
Lorsque Pier Giorgio Frassati meurt à l’âge de 24 ans, le 4 juillet 1925, des gens de toutes conditions se pressent devant la maison familiale, à Turin, pour lui rendre hommage. Emporté par une poliomyélite contractée en visitant un malade, ce jeune étudiant italien, sportif, membre du tiers ordre dominicain, rayonnait d’une charité brûlante, puisée dans une foi ardente. Béatifié en 1990 par Jean-Paul II qui le donne en modèle aux jeunes, Pier Giorgio Frassati est proclamé patron des montagnards, des sportifs et des Journées mondiales de la Jeunesse. Sa vie tout entière racontée ici en BD était guidée par sa devise : Verso l’alto, vers le haut.
Editions Plein vent
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Pèlerinage d’été des jeunes à Lourdes
A l’occasion du 150e pèlerinage de Lourdes, deux jeunes ont témoigné sur cette aventure à laquelle elles ont participé plus d’une fois.