«Retrouver le chemin de la vie après la douleur d’un deuil»

Une conférence
C’est le titre de la conférence que donnera Mme Alix Noble Burnand, thanatologue et formatrice d’adultes et conteuse bien connue en Romandie, le jeudi 25 avril 2024 à 19h30 au CO de Vouvry, grande salle du 1er étage (Avenue de la gare 31, en face de la gare CFF, places de parc devant le CO). Entrée libre, panier à la sortie, prix conseillé : Fr. 25.–

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Tennis de table: un deuxième tournoi organisé par l’abbé Darius

Samedi 24 février, s’est déroulé à la salle de gymnastique de la Stavia le deuxième tournoi de tennis de table organisé à l’intention prioritairement des servants de messe, par l’abbé Darius, maître en la matière comme il l’a montré raquette à la main.

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Un silence ouvert au sacré

Avant Vatican II, le prêtre, seul, célèbre la messe à voix basse et les fidèles y assistent en spectateurs muets. Après le Concile, de nombreux changements favorisent la participation des fidèles. Aujourd’hui, l’Eglise présente le silence comme un des moyens pour que tous vivent activement la liturgie. Petit tour de la question, en s’inspirant d’un livre rédigé par l’abbé Pascal Desthieux, « Habiter le silence dans la liturgie ».

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«Si je chante, c’est pour Toi!» (II)

Le chant et la musique occupent une place majeure dans les liturgies chrétiennes. Et Dieu sait si c’est un levier pour soulever les cœurs jusque vers Lui… Pierre-Alain, Ariane, Edmond, Bernadette, Laurent et Doris, Sophie et d’autres encore enchantent nos assemblées dominicales par le chant ou la musique. Mais qu’est-ce qui les tient, qu’est-ce qui les pousse ? Regards croisés.

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Chut !

Par Frédéric Monnin | Photo : DR

De grand matin, le premier jour de la semaine… ou plutôt devrais-je dire au point du jour, à cette heure où il ne fait plus totalement nuit, et pas encore jour ; cette heure magique où l’on perçoit sans les voir encore, au-delà de l’horizon, ces rayons qui, tantôt, viendront caresser de leur douceur matinale la rosée d’un hiver finissant… Une chose pourtant n’est pas descriptible à l’imaginaire visuel de ce dimanche matin où j’écrivis ces lignes… un élément qui, en ville, eût généré soupçon, voire inquiétude, mais qui, aux alentours de la maison paternelle où je me trouvais, en pleine campagne jurassienne, me réconforterait plutôt : le silence !

Ce silence qui, au fur et à mesure que la terre tourne suffisamment pour permettre aux organismes, ralentis par une nuit de sommeil, de reprendre vigueur et force ; ce silence, dis-je, se rompait peu à peu pour faire place aux sons des activités de la vie qui, tôt le matin, ne sont pas encore du bruit.

Toujours est-il que, ce jour-là, j’étais le premier debout et, de ce fait, j’entrepris de rallumer le feu dans la chaudière. Alors que j’ouvrais la porte du foyer dans lequel flamberaient bientôt quelques belles bûches, je me souvins de l’Abbaye de Tamié où, tant de fois avec mes confirmands, nous avons attendu, dans un silence parfois difficile, que débute l’Office de vigile. Office d’une rare beauté, d’une rare intensité, et d’une symbolique pascale évidente.

Que s’est-il donc passé, cette fameuse Nuit qui baptisa le monde, quelque part dans un jardin proche des murs de Jérusalem ? Car il n’y avait ni micro ni caméra, ni encore de drône qui auraient pu renseigner sur la façon dont la pierre fut roulée afin que, du Sépulcre, jaillît la Vie. La seule chose dont on peut raisonnablement être sûr, c’est que tout se passa dans le silence.

Christ est ressuscité, Il est vraiment ressuscité ! Crie-le sur les toits ! mais sans oublier jamais que ce fut dans le silence, dans ce secret où tu es au cœur de ta relation à Dieu. Et puis, au fond, dans le silence… t’es toi !

Chercher Dieu dans les animaux sauvages

Marion Perraudin lors de l’une de ses nombreuses excursions.

Marion Perraudin est une paroissienne très active au sein de notre Eglise. Vous lisez ses méditations au dos de L’Essentiel depuis quelques mois et vous l’aurez sûrement aperçue en train de prendre des photos lors des fêtes paroissiales. Pendant son temps libre, c’est aux animaux sauvages que Marion tire le portrait…

Par Christelle Gaist 
Photos : Marion Perraudin 

Passionnée de nature, Marion Perraudin part très régulièrement au contact des bêtes. Elle se décrit comme une chercheuse de Vie, en quête constante du Beau. La paroissienne me fait part de ses nombreuses rencontres avec les animaux. Son approche de la nature ne varie guère. Elle se sent toujours comme une invitée dans leurs espaces, montre un profond respect pour les occupants de ces lieux. Elle se fond dans l’environnement et tient à se faire oublier. C’est tout un monde fantastique qui s’ouvre alors à elle.

L’émerveillement – Ce qui pousse Marion à retourner chaque semaine auprès des animaux, c’est l’émerveillement que ces rencontres lui procurent. Dans ces rendez-vous de l’inattendu, elle cherche et trouve Dieu. Les méditations qu’elle partage dans l’Essentiel sont le résultat heureux de ces moments privilégiés. Grâce à son appareil photo, elle essaie également d’en garder des souvenirs. A force d’observations, la naturaliste sait reconnaître quel gypaète fend l’air sous ses yeux. C’est une espèce qu’elle affectionne tout particulièrement. Le retour de ce rapace dans nos contrées tient lieu du miracle, puisque celui-ci avait été exterminé puis réintroduit. Depuis quelques années, cet oiseau déploie à nouveau ses ailes en Valais pour le plus grand bonheur des âmes sensibles à la beauté. 

Tiré de l’enseignement de l’Eglise

Dans l’Encyclique Laudato si’ (2015), le pape François mentionne saint François d’Assise et son rapport à la nature, un véritable exemple pour tous ceux qui ont été appelés à la chérir et à la sauvegarder. Pour le pape, saint François d’Assise est le saint patron de tous ceux qui étudient et travaillent autour de l’écologie. Celui-ci aurait manifesté « une attention particulière envers la création de Dieu ainsi qu’envers les pauvres et les abandonnées. » […] « Tout comme cela arrive quand nous tombons amoureux d’une personne, chaque fois que saint François regardait le soleil, la lune, ou les animaux même les plus petits, sa réaction était de chanter, en incorporant dans sa louange les autres créatures. Il entrait en communication avec toute la création, et il prêchait même aux fleurs en les invitant à louer le Seigneur, comme si elles étaient dotées de raison. » (n° 11)

Un gypaète volant près de l’église de Sembrancher.
Un lièvre du 1er avril.

Cent ans, ça se fête!

Dans le cadre du 100e anniversaire du Pèlerinage de Lourdes, voici les mots du président romand des Hospitaliers.

Par Grégoire Luyet

Grégoire Luyet, président de l’Hospitalité de Suisse Romande (HSR) de Suisse romande nous explique :

« L’Hospitalité de Suisse Romande est un organisme d’Eglise agrégé à l’Hospitalité Notre Dame de Lourdes et qui se veut au service des malades dans leur démarche du pèlerinage de Lourdes. Elle a la spécificité de regrouper trois diocèses (Sion, LGF et Bâle / Jura Pastoral). 

Les hospitalières et hospitaliers sont des femmes et des hommes qui s’engagent volontairement et bénévolement à rencontrer dans l’amitié chaque malade et à découvrir toujours mieux « le monde de ceux qui souffrent ». Ils participent à leurs frais (voyage, hôtel, pension) au pèlerinage interdiocésain et, par divers services, rendent le pèlerinage possible aux malades et handicapés, en rassemblant bien-portants et malades, jeunes et adultes… Ils s’engagent aussi à l’effort fait dans les Diocèses par tous ceux qui, à titres divers, sont membres de la « pastorale de la santé ».

Les membres de l’Hospitalité sont dans la vie courante des membres actifs de leur communauté chrétienne habituelle. Ils participent à la vie liturgique de l’Eglise. Toute personne de bonne volonté peut devenir membre de notre Hospitalité et se mettre au service de ceux qui ont besoin de nos mains, de nos jambes et surtout de notre cœur.

Toute personne de bonne volonté peut devenir membre de notre Hospitalité. Veuillez prendre contact avec le président de l’association diocésaine correspondant à votre diocèse.

Enfants et jeunes, montez vers Pâques!

Du 28 au 31 mars 2024, en plus des célébrations paroissiales, deux Montées vers Pâques (MVP) sont organisées dans le secteur pour soutenir la foi des jeunes et enfants : un camp pour les ados au Monastère des Bernardines et des activités en journées à Monthey pour les enfants (3H-8H). Certains témoignent de leur expérience et invitent d’autres à se mettre en chemin pour vivre ensemble le Triduum Pascal.

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