En librairie – avril 2023

Par Calixte Dubosson et la librairie Saint-Augustin

Des livres

Vivre avec nos morts
Delphine Horvilleur

« Tant de fois je me suis tenue avec des mourants et avec leurs familles. Tant de fois j’ai pris la parole à des enterrements, puis entendu les hommages de fils et de filles endeuillés, de parents dévastés, de conjoints détruits, d’amis anéantis… » A travers ses expériences d’accompagnement des familles de défunts et par le recours aux rites et légendes du judaïsme, D. Horvilleur nous livre une réflexion sur la fin de vie, au-delà des croyances et des religions. Un petit livre précieux à s’offrir à soi ou à une personne chère.

Editions Livre de Poche

Acheter pour 12.80 CHF

La vie après la mort
Max Huot de Longchamp 

« Aller au ciel » : voilà qui résume l’espérance de beaucoup de chrétiens. Depuis deux mille ans, la question de l’au-delà trouve bien des réponses dans la Tradition. Vingt siècles de sainteté ont fourni des milliers de pages traitant ces questions qui se posent à tout homme venant en ce monde, et auxquelles la lumière de Pâques et la foi en Jésus-Christ apportent une solution inédite pour le monde. Le Père Max Huot de Longchamp nous livre ici les plus beaux textes des grands auteurs spirituels sur la vie après la mort.

Editions Artège

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Visitation(s)
Raphaël Buyse – Chantal Lavoillotte

Avec pour toile de fond l’évangile de la Visitation, Chantal Lavoillotte et Raphaël Buyse rendent compte de leur mission : accompagner des personnes marquées par la maladie, la fragilité ou la vieillesse. A ces récits sur le quotidien d’une aide chrétienne en milieu hospitalier répondent divers témoignages de malades ou de professionnels de la santé. Ils font apparaître au fil des pages, tel un fin murmure, cette présence mystérieuse du Christ qui ne s’impose pas mais qui, discrètement, vient encourager, fortifier, relever.

Editions Salvator

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Pour te parler de la mortet de la résurrection
Sophie Furlaud – Charlotte Roederer

Comment parler de la vie, de la mort et de la Résurrection aux petits ? Comment leur parler de ces grands mystères de la vie et de la foi chrétienne ? Voici un livret, très proche des sensations et émotions des enfants, qui aidera les parents à aborder avec douceur et tact, l’espérance d’une vie après la mort.

Editions Bayard Jeunesse

Acheter pour 16.90 CHF

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Mort… tellement nôtre !

Par Frédéric Monnin

« La mort n’est rien. Je suis seulement passé dans la pièce à côté. »

Je l’avoue, à chaque fois que j’entends ce texte, au demeurant fort bien écrit, souvent lu lors de cérémonies funèbres, je m’étonne… Mettons d’emblée les choses au clair : ce texte n’est pas né de la plume de Charles Péguy, et encore moins de celle de saint Augustin. Auraient-ils osé, l’un comme l’autre, prétendre que la mort n’est rien, alors que depuis 2000 ans, chaque messe qui fut, qui est et qui sera célébrée, atteste que le Christ a, par son sacrifice sur la croix, vaincu ce prétendu « rien » ?

Vous en conviendrez avec moi : si la mort n’est rien, alors pourquoi tant de larmes, de cris, de souffrances… ? Si la mort n’était rien, celle du Fils aurait-elle meurtri le cœur du Père au point que la terre, alors plongée dans les ténèbres, tremblât, et que se déchirât le rideau du Temple ? (cf. Mt 27, 51)

Oui, la mort est quelque chose ! Mais la tendance est à sa négation, ou tout du moins son occultation. Et quand enfin l’on se rend compte qu’elle est inéluctable, on exhibe tel un trophée ce fruit fameux de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, en prétendant juger que telle ou telle mort est digne ou pas, selon que l’on aura souverainement décidé quel jour et à quelle heure elle devra intervenir. Au risque de blesser certaines sensibilités, le seul souverain en la matière, du moins à en croire ce Jésus dont nous nous disons les témoins, c’est Dieu le Père. Ce même Père à qui nous disons chaque dimanche, les bras levés au ciel : « Que ta volonté soit faite ! »

En ces temps où nous faisons mémoire plus intensément de ce glorieux matin qui consacra la victoire de la Vie, prenons le temps de redécouvrir le sens profond du baptême : il nous a plongés dans la mort et la résurrection du Christ, il nous a fait mourir à nous-mêmes pour en renaître enfants d’un même Père, et frère de Jésus qui, à l’heure de sa mort, savait qu’il s’en relèverait. Ne nous a-t-il pas promis qu’il en serait de même pour nous ?

 

Au service de la paroisse depuis trente-deux ans!

Cela fait déjà 32 ans que l’engagement paroissial de Maria Plancherel a commencé. En 1991, elle est arrivée au Conseil de paroisse de Montbrelloz. Elle en fut la présidente pendant 8 ans. Dès 2018, après la fusion de la grande paroisse, elle continua son engagement au sein du Conseil de communauté de Notre-Dame des Flots.

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Un écran TV pour l’église de Monthey

Cela ne vous aura pas échappé, un immense écran TV est désormais fièrement suspendu au mur latéral droit de la nef de l’église de Monthey. Après Muraz et Collombey, la remontée du Rhône se poursuit, voilà désormais le chef-lieu des églises paroissiales qui a elle aussi comme son air d’édifice 2.0 😊 Rencontre avec le curé Jérôme Hauswirth pour mieux comprendre ces changements.

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Une proposition pour découvrir des personnalités inspirantes

Inspirées et inspirantes ! Nous avons tous à l’esprit au moins une de ces personnes que nous qualifions volontiers d’icône ou de modèle. Elles sont de celles qui poussent à avancer, nous donnent du souffle et de l’énergie. Nous vous proposons de découvrir ci-dessous trois d’entre-elles au travers de biopics originaux.

Par Myriam Bettens | Photos : DR

Une rose à Auschwitz

Le biopic dont la sortie est programmée pour le 21 avril en DVD et VOD retrace l’histoire vraie d’Edith Stein. Cette philosophe et féministe juive allemande s’est convertie au christianisme et est devenue religieuse. Morte à Auschwitz, elle a été élevée au rang de sainte et martyre, puis est devenue la patronne de l’Europe avec le nom de Sainte Thérèse Bénédicte de la Croix.

Faustine, apôtre de la miséricorde

Ce film biographique se déroule dans les années 1930 et suit les traces de sœur Faustine. Celle-ci reçoit des révélations privées au cours de nombreuses apparitions du Christ. Ce dernier la charge de diffuser au monde entier le message de sa Miséricorde Divine, une mission que poursuivra le Père Michel Sopocko, son confesseur, après la mort de Faustine.

Le métis de Dieu

Exceptionnel destin que celui de Jean-Marie Lustiger, le juif qui devint cardinal. En pleine Occupation, le jeune garçon de 14 ans se convertit au catholicisme contre l’avis de ses parents. Il perd sa mère en déportation et se déchire avec son père, qui n’accepte pas son choix. Devenu curé, il se hisse soudain au sommet de la hiérarchie ecclésiastique grâce à Jean Paul II, auquel il se lie d’amitié. En 1985, un couvent de carmélites polonaises s’installe dans les murs d’Auschwitz, à l’endroit même où la mère de Jean-Marie a été gazée. L’évènement déclenche une des crises les plus importantes entre juifs et chrétiens depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et c’est à ce juif devenu catholique qu’il incombe de trouver une issue au conflit qui le bouleverse lui-même intimement.

A découvrir en DVD et VOD sur sajeplus.fr

Le miracle cinématographique

Bertrand Bacqué.

Le festival de films IL EST UNE FOI consacrera son édition 2023 à la thématique du miracle. Bertrand Bacqué, directeur artistique et Norbert Creutz, critique de cinéma, tous deux membres du comité cinéma du festival, ont accepté de répondre à quelques questions en amont de la conférence inaugurale, prévue le 1er mai au Centre de l’Espérance. Interview entre doute(s) et miracle(s).

Propos recueillis par Myriam Bettens | Photo : DR

Par quel miracle avez-vous opté pour cette thématique ?
Norbert Creutz : La question du miracle est fondamentalement liés au cinéma et c’est ce questionnement que j’avais envie d’approfondir.

Fondamentalement liée au cinéma, de quelle manière ?
NC : Le cinéma peut être considéré comme un miracle permanent. Il y a des choses extraordinaires qui se passent sans arrêt, alors qu’on sait pertinemment qu’elles sont « fausses ». Et lorsqu’arrive un film qui vous postule le miracle de manière plus profonde, vous vous rendez compte que le cinéaste a dû le traiter de manière plus intelligente, en ne s’appuyant pas seulement sur une palette d’effets spéciaux. C’est en cela que le cinéma devient un instrument à questions plus profondes.
Bertrand Bacqué : Le cinéma a à faire avec la notion d’apparition [cf. la première projection des frères Lumière, ndlr.]. Très vite, le religieux est devenu un élément important des sujets cinématographiques et l’église s’est très tôt emparée de cela comme un moyen de plus mis à disposition de l’institution pour la propagation de la foi. Il y a vraiment une consubstantialité entre l’image et l’apparition. Dans l’Antiquité, on faisait des rites pour faire apparaître des images. Aujourd’hui, dans le dispositif utilisé, il y a encore quelque chose de la monstration et de l’apparition.

En quoi les miracles sont-ils nécessaires, autant pour le croyant que le non-croyant ?
NC : Nécessaires… c’est la grande question. La plupart des gens se font à l’idée « qu’il n’y a pas de miracles », mais l’espoir d’un miracle demeure le fondement même de leur vie, d’une certaine manière. 
BB : Si on s’en tient aux Evangiles, les miracles sont des événements exceptionnels pour attester de la foi. Dans cette perspective, la foi, pour avoir un sceau de vérité, aurait besoin de ces signes. Toutefois, on pourrait faire une distinction entre ces signes tout à fait exceptionnels et les « miracles quotidiens » qui ponctuent nos vies : un téléphone inattendu ou une rencontre.

On voit que l’église est devenue prudente par rapport à ces phénomènes… 
BB : Il faut combiner foi et raison, ce qui devient assez complexe. On aurait tendance à dire que le miracle dépasse la raison et devient donc le sceau de la foi. Ce qui signifie en même temps que nous renonçons à une explication rationnelle pour admettre que quelque chose est sans explication. Raison pour laquelle l’Eglise redouble de prudence, afin de ne pas légitimer n’importe quelle révélation privée.

Est-ce que le miracle, comme nous l’entendons dans le christianisme, existe dans d’autres religions ?
NC : Au travers du cinéma, nous n’en avons pas trouvé beaucoup. Nous avons inclus un film indien où on pourrait y comprendre quelque chose de semblable.

Est-ce que cela signifierait que le miracle, comme nous le comprenons, fait partie de l’essence de la chrétienté ?
NC : J’aurais tendance à le croire. Les autres cosmogonies ont accepté qu’il y’a des choses qu’elles ne comprennent pas, mais cela fait partie intégrante de leur vie.
BB : On est plutôt dans l’ordre de ces miracles quotidiens qui ne sont pas forcément une attestation de la transcendance. Cette question de la transcendance reste tout de même très judéo-chrétienne.

Comment avez-vous sélectionné le panel de films du festival ?
NC : Il y avait un critère évident de sujet, mais aussi un autre concernant la forme, car nous voulions que le miracle soit traité avec une vraie intelligence artistique.
BB : En effet, nous souhaitons garder une certaine exigence cinématographique. Cela afin de parler au plus grand nombre sans tomber dans l’écueil « film de paroisse », à l’image de ce qu’une certaine industrie cinématographique américaine produit aujourd’hui à grande échelle. Souvent, les films religieux ne sont pas les plus spirituels ! Il nous fallait donc aller au-delà de cette étiquette pour trouver des perles cinématographiques. Je dirais même que c’est ce type de films qui nous confrontent le plus et poussent à la réflexion.

A découvrir du 3 au 7 mai, aux Cinémas du Grütli. 
Plus d’informations sur ilestunefoi.ch

Coup gagnant pour le tournoi paroissial de tennis de table

D’habitude, c’est à l’église que les servants de messe se rendent. Samedi, c’est à la Stavia qu’ils avaient rendez-vous. Quarante-­deux filles et garçons – sur les 90 servants que compte la paroisse – ont répondu à l’invitation de l’abbé Darius, curé-­modérateur, pour participer au premier tournoi paroissial
de tennis de table. Coup gagnant pour un coup d’essai !

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Le Carême, un « catéchuménat-pour-tous »

Lors d’une rencontre de préparation au baptême adulte, l’un des catéchumènes qui recevra les sacrements d’initiation à Pâques cette année me pose une question qui m’interpelle : « Pourquoi est-ce que les baptêmes des adultes ont lieu à Pâques et pas à Noël ? »

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Le sens du Carême

Le Carême est une période de « jeûne » et d’approfondissement de sa foi, durant laquelle il est commun de s’abstenir de boire de l’alcool ou de manger de la viande ou du chocolat, de jeûner pour certains et de pratiquer l’abstinence les jours de pénitence, soit le vendredi, jour traditionnellement associé à la mort
de Jésus-Christ.

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Archéologie biblique et catéchèse

Pour l’équipe pastorale : texte et photo par Isabelle Poncet

La Bible nous fascine, nous interroge et nous fait nous interroger sur l’existence de Dieu. Comme on aimerait avoir des preuves sur la véracité de certains faits et de certains récits ! Si l’existence de Jésus est attestée en tant que personnage historique, seule la foi nous fait reconnaître en Lui le Fils de Dieu.

En tant qu’adultes, nous sommes toujours en train de découvrir les richesses des textes bibliques, de les réinterpréter, de se les approprier. Ce qui ne se fait pas sans comprendre le contexte de l’époque. 

De nos jours, les enfants n’acceptent plus de prendre pour acquis ce qu’on leur dit. Ils se questionnent, ils réfutent et c’est difficile pour eux de croire. 

Certains propos de la Bible leur paraissent invraisemblables et c’est là que l’archéologie biblique peut nous aider, notamment en ancrant Jésus dans l’histoire comme personnage ayant réellement existé. 

Dans un des livrets proposés dans le programme de catéchèse (« Et qui donc est Dieu » – chez Bayard), les enfants tentent de comprendre « Pourquoi Jésus s’est-il laissé tuer sur la Croix ? » Une carte de Jérusalem à l’époque et un film leur permettent de visualiser le parcours du Christ lors de sa Passion, à travers des vestiges archéologiques. Voir qu’en creusant, les archéologues ont retracé le parcours à travers la ville de l’époque leur permet de prendre conscience que Jésus a bien existé et que ce que nous leur racontons n’est pas que des histoires que l’on ne peut pas visualiser. Déjà que Dieu, on ne Le voit pas… ! 

Néanmoins, si les vestiges peuvent nous aider à croire, la foi, elle, ne peut venir que de la rencontre personnelle avec le Christ. En tant que parents et catéchistes, nous semons, mais Dieu seul récolte !

De quel monde voulons-nous être responsables?

La Campagne œcuménique 2023 menée par Action de Carême, l’EPER et Etre partenaires met en avant la contribution de l’agroécologie à la lutte contre les changements climatiques et ses conséquences.

Par l’équipe de campagne Action de Carême

Actuellement, la crise climatique représente le principal défi à la survie de l’humanité. Les événements climatiques extrêmes tels que les sécheresses ou les inondations sont cause de faim et de pauvreté. Or, nos habitudes alimentaires – de la production à la consommation – jouent un rôle clé en la matière, notamment en ce qui concerne notre empreinte écologique et la sécurité alimentaire des pays du Sud. La façon dont nous traitons la Terre reflète la considération que nous portons à nos semblables. Selon la pensée de Gottfried Wilhelm Leibniz *, « La justice n’est autre chose que la charité du sage ». Agissons donc avec sagesse, faisons preuve d’humanité et comportons-nous de manière juste envers notre planète et ses habitant·es afin que chacun·e puisse vivre dans la dignité ! 

La justice climatique est une nécessité – C’est pourquoi elle se trouve au cœur de la Campagne œcuménique pour la troisième année consécutive. Durant ce Carême 2023, l’EPER, Action de Carême et Etre Partenaires mettront en avant la contribution de l’agroécologie à la lutte contre la crise climatique et ses conséquences. Cette forme d’agriculture à petite échelle, adaptée aux conditions locales, préserve la biodiversité, encourage une alimentation saine et ouvre de nouvelles perspectives. Ses méthodes sont bénéfiques tant pour les êtres humains que pour l’environnement. Elles favorisent la participation politique, les systèmes alimentaires de proximité ainsi que la transition vers des modèles économiques qui privilégient la solidarité et le respect des ressources naturelles.

De quel monde voulons-nous être responsables ? – Tout au long de notre campagne, nous aborderons cette question sous divers aspects : connaissances scientifiques, situation actuelle, perspectives politiques, principes théologiques ou encore engagement individuel. Nous verrons qu’il est possible de façonner le monde de demain, celui que nous laisserons aux générations futures. Un monde dont nous assumerons la responsabilité avec fierté. Ensemble, agissons pour qu’un monde juste pour toutes et tous soit une réalité !

* G. W. Leibniz (1646–1716) est un philosophe, mathématicien, juriste, historien et conseiller politique allemand du début de la Renaissance. Il est considéré comme le « génie universel » de son époque.

Agis pour faire la différence : justice climatique, maintenant !

Photo : Bob Timonera

Vous nourrissez-vous de manière équitable ? Que se cache-t-il derrière les aliments de votre frigo ? Comment la nourriture de votre assiette a-t-elle été cultivée et à quel point les fruits et les légumes que vous consommez ont-ils voyagé ? Le parcours des aliments du champ jusqu’à notre assiette est plus complexe qu’il n’y paraît…

… Notre mode de production alimentaire actuel est responsable de plus d’un tiers des émissions nocives de gaz à effet de serre. Consommer des produits locaux, saisonniers et équitables aide à améliorer le bilan de gaz à effet de serre de l’alimentation et de la production alimentaire. La production et les habitudes alimentaires sont en lien étroit avec la famine dans le monde et la situation climatique actuelle. Les personnes qui contribuent le moins au réchauffement climatique en sont les principales victimes.

Soutenir la campagne ?

Tous moyens de paiement –> https://voir-et-agir.ch/don-general/
ou par virement bancaire : IBAN CH31 0900 0000 1001 5955 7
en faveur d’Action de Carême, Avenue du Grammont 7, 1007 Lausanne.

Action « Journée des roses équitables »

Faites bon accueil aux roses vendues lors des messes du secteur les samedi 18 et dimanche 19 mars 2023

Philippe Marchello: organiste de la paroisse depuis 30 ans!

Son métier : plâtrier-peintre, patron de sa petite entreprise. Sa passion : l’orgue. Qu’il pratique depuis son adolescence. Combien de fois est-il monté à la tribune de la collégiale d’Estavayer pour jouer de son instrument : des milliers de fois… Car cela fait 30 ans qu’il en est l’organiste titulaire. Trente ans ! Deux milliers de messes et fêtes religieuses et six cents enterrements plus tard, il affiche le même enthousiasme. Un musicien heureux de se mettre au service de la liturgie et de l’art sacré. Rencontre pleine de notes joyeuses !

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Succession aux Conseils de gestion et de communauté

Nos deux Conseils paroissiaux changent de présidence comme par jeu de domino : en succédant à Gilbert Mudry au Conseil de gestion, Bernard Premand laisse vacante sa place de président au CoCom, que Sandrine Mayoraz reprend. Tous deux se présentent pour relever quelques défis qui s’ouvrent à eux.

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